1. Ma femme est une salope, mais pas que... (1)


    Datte: 30/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sillon de son cul maintenant presque nu. Cette même main qui glissa sur le flanc de sa cuisse puis remontant tout le long à en venir nerveusement avec les doigts, déboutonner la ceinture de la jupe de Colette. Puis du plat de cette même main, il lui caressa le ventre et descendit lentement vers le pubis de ma femme entraînant avec elle et la jupe et sa petite culotte dans une chute aussi lente qu’inexorable. Les doigts de Bruno caressaient maintenant la chatte de Colette qu’elle avait totalement épilée, lisse et douce, comme l’aurait été celle d’une petite fille. Je le regardais caresser maintenant les lèvres de la vulve de ma femme et comme un fait exprès, de l’endroit ou j’étais, ils étaient placé idéalement pour que je puisse lui voir les phalanges d’un doigt tendu venir s’imprimer dans la fente du sexe de Colette. Il se recula un bref instant pour prendre d’autre photo de près cette fois de sa main massant la chatte de ma femme et dont l’un des doigt avait partiellement disparu entre les plis charnus de la fente du sexe de Colette. Puis il repartais, le plat de sa main appuyé sur les lèvres de la chatte de Colette et qui s’ouvraient sous sa pression, ses doigts disparaissant entre les cuise de ma femme et cherchant très probablement à atteindre son petit trou. Il amplifiait à chaque mouvement de va et vient son geste labourant les lèvres de la vulve de Colette à chaque geste e, venant à ce que ce soit le plat de son poignet qui au plus bas venait au contacte de la chair ...
    ... rose humide et tendre du sexe de ma femme. Une synchronicité sembla un moment vouloir s’installer et sans doute à chaque plongée il en était arrivé à lui titiller son petit trou, à lui caresser sa petite rondelle voir à y introduire le bout d’un doigts, jusqu’à ce je que le vois par moment comme tenter de soulever Colette uniquement de la main et de l’avant bras qui elle se mettait aussi a onduler et se soulever sur eux. Bruno ralenti alors ses mouvement de va et vient et sa main ne se cantonna plus qu’aux lèvres de sexe de Colette. Ses doigts les trituraient, puis les écartaient et Colette sembla s’accrocher un moment à lui, alors que sa vulve rose et humide fut exposée à l’air libre, aidée des doigts qui la maintenait ouverte, alors que l’un deux, semblait avoir trouvé son petit clitoris avec lequel il le titillait tandis que deux autres s’enfoncèrent lentement mais sûrement dans le trou ainsi offert du sexe de ma femme. Je voyais très bien les gros doigts rugueux de Bruno aller de plus en plus vite et de plus en plus profond dans la vulve de Colette comme si il voulait y fourrer sa main toute entière. Il y allait en mettant toute son énergie, aussi vite qu’il lui était possible de le faire, secouant et soulevant même Colette par moment et là, pour la première fois, j’entendis ma femme gémir sans retenue et en redemander. Aussitôt, il réagit en lui disant: « T’aimes ça hein Colette ! T’aimes ça hein ma salope te faire tringler par la main d’un ouvrier ! Mmmh oui ! Cochonne ...
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