1. Les récits de Sandie - N° 3.


    Datte: 31/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... pute ? Tu ne dois pas avoir honte de te montrer. Roger dégrafe là s’il te plait. Je m’exécutais tout en continuant de donner du plaisir à Roger qui relevait sur mon ventre la mini-jupe. Sa main passait entre mes cuisses, il dégrafait mon body permettant à son ami de me voir complètement. Mon léger bronzage naturel me donne une jolie couleur de peau. - J’aime beaucoup ton abricot. Lisse comme il est, il va beaucoup plaire, Sandie. Tu as une très jolie petite fente. Il serait dommage de la cacher… ou ne la réserver qu’à ton mari. A ces mots, je fermai les yeux, comment pouvais-je avoir un tel comportement, une telle tenue dans mon propre salon ? Je ne me reconnaissais plus. Mon comportement était celui d’une chienne en chaleur. Ce n’était pas moi Sandrine l’épouse modèle de Jean, maman d’un petit garçon. Je n’osais imaginer la réaction de Jean s’il savait. J’avais véritablement honte. Mais j’étais aussi terriblement excitée. Je continuais de sucer le sexe de Roger en gardant les jambes ouvertes. Aux soupirs de plaisirs d’Alain se mêlaient ceux de Roger qui ne tardait pas à jouir lui aussi en me touchant. J’attendais avant de me relever, je continuais de le sucer jusqu'à qu’il me demande d’arrêter : - Il est presque dix-neuf heures trente, nous devons y aller si tu veux travailler pour nous rembourser Alain et moi… Je me rhabillai, ragrafai correctement le body et lissai la jupe en écoutant Alain dire : - Les deux trajets aller-retour, les péages, le gazole mais aussi la ...
    ... place sur le trottoir à Marseille, la chambre, la protection et surtout le manque à gagner pour Catie d’être avec nous pour t’expliquer plusieurs choses : Tu me dois mille cinq cent euros. Mais comme tu es une protégée de Roger j’ai arrondi à mille euro. Il faut que tu les gagnes ou tu en seras de ta poche. Roger continua de son côté : - Je vais t’expliquer dans la voiture quelques petits trucs comme l’a dit Alain. Cette nouvelle de savoir que je devais leur donner mille euros ne me réjouissait guère. Mais jusqu’ici je n’avais pas réalisé et pris en compte le fait que je serais payée. Si l’argent que je gagnerais devait leur revenir, ce n’était pas grave. Je m’en foutais. Je ne le faisais pas pour l’argent. Mais je ne voulais pas leur devoir de l’argent, ça non. Je ferais en sorte que cela n’arrive pas. J’allai dans la salle de bain pour me rafraichir un peu et donner une dernière touche à mon maquillage. Catie me suivit, elle aussi voulait arranger sa coiffure. En souriant, elle me dit : - Il ne faut pas trop t’en faire pour l’argent Sandie. Alain est très conciliant, on pourra toujours s’arranger. Quatre ou cinq michetons et tu as déjà réuni la moitié de la somme. Il suffirait que tu acceptes une spéciale pour que le compte y soit ensuite. - Une spéciale, c’est quoi exactement ? - Je t’expliquerai ! Dépêches toi ! J’étais prête. Mon cœur battait plus vite. Une boule d’angoisse extrêmement agréable prenait naissance dans mon ventre. Une dernière goutte de parfum derrière les ...
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