1. Année de terminale (31)


    Datte: 31/12/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    • Pauline, rentre, tu vas avoir froid. • Non, je n’ai pas froid... C’est beau la neige qui tombe. Je n’avais jamais regardé avant. Tu te rends compte ? J’ai toujours trouvé ça si froid, sans âme. En fait, c’est magnifique. T’as remarqué qu’il n’avait pas neigé depuis la dernière fois que je suis venue chez toi ? • Oui, j’ai remarqué. Mais, mes parents risquent de rentrer plus tôt à cause de la neige. Ca leur ferait bizarre de te trouver à poil dans leur jardin. • … Paul, t’avais pas envie de me faire l’amour ? • Si, mais pas toi. Je pense que tu aurais accepté juste pour me faire plaisir. Marie-Aude m’avait blessée plus profondément que je l’aurai voulu. Je perdais la tête. Je me suis mise à tournoyer sous les flocons qui tombent, ça me faisait tellement de bien. Et le décor s’est mis à a défiler à une allure infernale sous mes yeux. J’ai entendu Paul me dire d’un ton inquiet "Pauline, t’es toute blanche" et tout est devenu noir. Je mets du temps à réaliser où je suis en me réveillant. Je suis dans un lit, une chambre... La chambre d’ami de chez Paul. Je me lève, j’ai soif. Il fait nuit dehors, je n’ai aucune idée de l’heure qu’il peut-être. J’entends du bruit dans la cuisine et je rentre. Il y a les parents de Paul qui sont entrain de prendre leur petit-déjeuner. Le père me regarde avec de grands yeux, la mère se lève en lançant un juron et me dit • Mademoiselle, je ne sais pas comment c’est chez toi, mais ici, on ne se promène pas toute nue dans la maison. Vas enfiler ...
    ... quelque chose. • … J’ai soif... J’ai chaud… J’ai la tête qui se remet à tourner. Elle me prend la main, mais l’autre sur mon front en disant "T’es encore brûlante. Je te ramène dans le lit, on va t’amener de l’eau". Je la laisse m’entrainer et je m’arrête, affolée • Mon père, il ne sait pas où je suis. Il faut que je l’appelle. • Calme-toi, tout va bien. Il est au courant et est même passé hier soir. Et toi, tu ne sors plus du lit maintenant. Je vais appeler un docteur. Je m’allonge. Alors que je mourrais de chaud une minute avant, je commence à greloter. Je me mets bien sous les draps, le père de Paul m’amène un verre d’eau. Je bois, la mère me demande "ça va mieux ?". Je ne réponds pas, ça ne va pas du tout. Je l’entends dire "vite, une bassine", mais trop tard. C’est douloureux, je sanglote, je n’aime pas être malade • Pardon, je vais nettoyer. • Ne dis pas de bêtise. On va te préparer le canapé lit de la chambre de Paul. D’ailleurs, il n’est pas l’heure de le réveiller pour le lycée ? Chéri, tu t’en charges ? Elle m’a prêtée un peignoir, mais avant d’aller dans la chambre de Paul, j’ai dû m’arrêter aux toilettes pour vomir à nouveau. Mon ventre était vide, mais j’avais toujours envie, ça me faisait mal. Je n’ai pas vu Paul. A peine arrivée au canapé lit, je me suis couchée. J’ai mis toute les couvertures possible, j’avais terriblement froid. Puis, je me suis endormie. Je n’ai pas vu non plus le docteur, mais il était passé. C’est à nouveau en sueur que je me suis réveillée, ...
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