Année de terminale (31)
Datte: 31/12/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... mourant à nouveau de chaud, retirant les couvertures, et le peignoir. La mère de Paul est là, assise au bureau de Paul. Elle ne dit rien sur le fait que je sois à nouveau nue et me donne un verre d’eau trouble en me disant "Bois, ça devrait aider à faire tomber la température". Je finis le verre, mais je ne garde pas longtemps dans mon ventre ce que je viens d’avaler. Cette fois, il y a une bassine à côté de moi. Et je recommence à avoir froid, me blottissant dans les couvertures. Elle s’approche, s’assoit sur le bord du lit et me dit • Tu as une bonne grippe. • C’est nul. Et ça vous donne beaucoup de travail en plus. • Ce n’est pas grave... Te souviens-tu de ce qu’il s’est passé aujourd’hui ? • … Non, pourquoi ? • Ca doit être à cause de la fièvre, mais … • Que s’est il passé ? • Lorsque le docteur t’a auscultée, tu as plusieurs fois attrapé sa main pour la glisser entre tes cuisses. Et ensuite, tu t’es caressée… Quasiment jusqu’à ce que tu te réveille. J’ai trouvé ce comportement étrange. Tu aurais une explication ? • … Non, je devais certainement délirer. Je ne me souviens pas. • Ok… Bon, repose-toi. Je vais voir pour te préparer un truc à manger. ***************************** La mère de Paul est restée toute la journée avec moi. Elle avait ainsi posé un jour de congés disant que j’étais bien trop malade pour rester seule. C’était très gentil de sa part. Et j’ai passé ces heures à vomir la moindre chose que j’avalais. J’alternais entre avoir trop chaud et trop froid. Nous ...
... n’avons quasiment pas parlé. Mais cette présence de mère de famille me faisait du bien. En milieu d’après midi, je me sentais un peu mieux, même si j’avais très chaud. Paul était rentré, il a annoncé que Marie-Aude a vomi en début d’après-midi et que son copain ne se sentait pas bien non plus. Ca m’a fait rire, j’étais la seule à comprendre pourquoi. Mais, la mère de Paul lui dit • Peux-tu nous laisser seules pendant que je m’occupe de ta copine ? • Ben non, c’est ma chambre. • Pauline, réajuste toi, on voit tout avec ton décolleté. • Mais, j’ai super chaud. • Normal, avec la fièvre que t’as. Vous m’énervez tous les deux, je ne vais jamais réussir à te faire cette natte. Elle s’occupe de moi comme ma mère ne l’a jamais fait, douce et attentionnée. Je lui ai donné beaucoup de travail, mais je n’y pouvais rien. La dernière fois que j’ai vomi, je m’en étais mise par tout, et aussi dans les cheveux. Ca n’avait pas dû être une partie de plaisir de me donner cette douche pour me laver entièrement alors que j’étais à moitié amorphe. Et là, elle tente de m’attacher les cheveux pour éviter de les souiller à nouveau. Mais, pour le moment, je recommence à être un peu vaseuse, et j’ai également envie de plaisir. Mon bas ventre se met à titiller. Je laisse glisser la bretelle de la nuisette que m’a prêtée la mère de Paul. Je l’entends râler parce que mon sein s’est découvert, mais sa voix est déjà lointaine. Je la sens remettre en place le vêtement. Je ne me rends compte plus de rien. Une ...