1. Beau-père


    Datte: 01/01/2019, Catégories: fh, hplusag, hagé, extracon, cocus, alliance, soubrette, entreseins, Oral fsodo, journal,

    ... forniquer avec les domestiques qui défilaient à la maison à une cadence plutôt insolite. Plusieurs fois, il avait surpris dans la maison la voix un peu honteuse de ces jeunes femmes sous forme de chuchotements, mais aussi de rires et de soupirs dont il ne connaissait pas dans un premier temps la signification réelle. Ce n’est qu’à un âge plus avancé, lorsque mon futur époux était tout juste étudiant, qu’il prit la fâcheuse habitude d’occuper son temps, au lieu de développer sa propre sexualité, de traquer et de récolter les moindres indices des forfaits de son paternel, jusqu’au point de les consigner dans un cahier. Il y avait répertorié à chaque fois, une description de la proie, son âge (le plus souvent une jeune femme d’une vingtaine d’années, mais il eut aussi des partenaires bien plus âgées…), le lieu du forfait et la description des indices qui lui parvenaient chaque fois qu’ils ne laissaient aucun doute sur la nature de l’activité accomplie. Cela pouvait aller de témoignages sonores qui parvenaient jusqu’à ses oreilles, de traces laissées sous la forme d’objets déplacés, défaits ou abandonnés et qui témoignaient d’autres abandons… Si le père était un collectionneur de maîtresses particulièrement assidu, le fils n’en était pas moins assidu à en répertorier les prouesses. Et puis un jour je t’ai rencontré ! Et j’ai abandonné tout intérêt pour ce qui est des culbutes à répétition de mon père ! Il me dit cela avec air d’évidence qui me déstabilisa. Je me rendis compte ...
    ... ainsi que sans le savoir, un lien s’était établi entre son père et moi sous la forme d’une rupture qui semblait salutaire. J’aurais dû m’en féliciter, mais curieusement je ressentis comme une pointe de regret, comme s’il me manquait la suite d’une histoire dont j’espérais bien obtenir des éclaircissements. — Et qu’est-ce que tu as fait du cahier ? Il me répondit posément qu’il l’avait gardé dans un coin et je me rendis compte que je retenais un soupir de soulagement. C’est quelques jours plus tard que je profitais d’une de ses absences pour mettre la main sur l’objet convoité. C’était un petit journal de format écolier, mais plutôt épais. Au hasard, j’en entrepris la lecture. Je feuilletai à nouveau de nombreuses pages, avant d’arriver à cette nouvelle aventure. Je n’ai pas lu tous les détails d’un récit qui devait se prolonger encore et laissait à penser que les ébats adultères de ces deux amants avaient duré un certain temps… En feuilletant encore ce gros cahier qui devait bien faire deux cents pages et qui était presque entièrement rempli d’une écriture serrée, je réalisai l’ampleur des prouesses sexuelles accomplies par ce monsieur d’un abord si respectable et cérémonieux. Sans compter que bien des aventures avaient dû échapper aux investigations de mon cher mari, parce que le forfait ne s’était pas accompli dans le cadre strict de la maison. D’ordinaire une telle attitude aurait provoqué ma défiance ou mon dégoût, mais c’est là que je me mis à réaliser que j’étais déjà sous ...
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