1. Beau-père


    Datte: 01/01/2019, Catégories: fh, hplusag, hagé, extracon, cocus, alliance, soubrette, entreseins, Oral fsodo, journal,

    ... le charme moi aussi, comme tant d’autres femmes avant moi. Rien ne pouvait me raisonner et la lecture de ce cahier n’avait fait qu’attiser ma curiosité et mon désir à l’égard de cet homme dont j’étais la bru, la belle-fille. L’émoi physique que je ressentais et cette volonté violente de me retrouver pour la première fois en tête-à-tête avec cet impressionnant personnage qui me vouvoyait dans un rapport quasi filial ne pouvait me tromper. Mes intentions n’étaient ni innocentes, ni honnêtes, mais je crus pendant plusieurs mois devoir y renoncer. Notre rapport continuait en présence d’autres membres de la famille à être celui que l’on doit attendre d’une relation entre un beau-père et sa belle-fille. Un jour où Sébastien m’avait demandé de vérifier des comptes et alors qu’il devait s’absenter une bonne partie de l’après-midi je m’étais endormie sur son bureau sous l’effet de la fatigue. Ce n’est qu’après un moment dont je n’étais pas en mesure de percevoir la durée, que j’ai senti sa main sur mon épaule. Je lui ai pris tendrement pour lui signifier que je sortais doucement de mon sommeil, mais c’est alors que j’ai réalisé que ce n’était pas sa main ! Elle était plus large et rugueuse et surtout je perçus du bout des doigts le relief formé par de petites rides. J’étais encore dans un demi-sommeil sur le point de sursauter et en même temps la chaleur douce et déterminée de ce contact me rassura aussi rapidement qu’elle m’avait angoissé. J’étais sur le point de me relever ainsi ...
    ... tiraillée entre deux sentiments, quand j’entendis sa voix grave et apaisante… — N’ouvrez pas les yeux ! C’est moi Hubert, vous n’avez rien à craindre… Et ces simples mots me firent deviner qu’au contraire j’avais tout à craindre… mais je me rendis compte que je ne faisais aucun mouvement de recul et que j’obéissais servilement à sa demande, et qu’en gardant les yeux fermés je m’abandonnais langoureusement au contact de sa main. Ce n’était plus un simple attouchement, c’était une caresse qui flattait mon épaule. Je me redressai lentement pour poser mes coudes contre l’écritoire et je me rendis compte instantanément que je lui offrais ainsi une plus grande liberté de gestes. Je n’avais pas peur, j’étais dans un total sentiment d’abandon. Je me sentais heureuse, comme si ce moment je l’avais attendu sans oser l’avouer et peut-être depuis cet instant où je l’avais rencontré pour la première fois… Il fit glisser sa main délicatement jusqu’à frôler de ses doigts la base de mon cou. Il dut percevoir au toucher le frémissement qui parcourait mon corps sous l’effet de ce contact pour la première fois direct et espéré… Ses doigts se mirent à jouer comme sur les cordes d’un instrument singulier à la recherche de quelque trésor que je devinais pouvoir lui offrir par le spectacle, dévoilé à ses yeux, de mon décolleté. En effet de l’endroit où il était placé derrière moi il s’offrait à sa vue d’une façon impudique. J’avais toujours les yeux fermés, mais je sentais, je ressentais son regard ...
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