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Beau-père
Datte: 01/01/2019, Catégories: fh, hplusag, hagé, extracon, cocus, alliance, soubrette, entreseins, Oral fsodo, journal,
... déjà telle que j’en avais la chair de poule. Curieusement lorsqu’il me retourna pour me prendre en levrette, je me mis à penser à la jument de leur propriété que j’avais vue se faire saillir la semaine dernière par leur plus bel étalon. Je ne maîtrisais plus rien et par sa seule force il faisait coulisser violemment son bassin entre mes cuisses qui contrastaient sans doute par leur légèreté avec celles vigoureuses de ce bel athlète en pleine maturité. Mon sexe était comblé, envahi, possédé au sens le plus fort par son membre énorme. Mais ce n’était rien face à ce qui m’attendait. Il se retira brusquement de moi et présenta sa verge à l’entrée de mon anus. Pour la première fois je voulus protester en essayant d’un geste malhabile de la main de détourner l’engin de cette nouvelle cible et c’est alors qu’il me chuchota à l’oreille ces mots qui finirent par me soumettre à sa seule volonté. — Tu es ma plus belle conquête et la plus exquise par le lien familial qui me lie à toi, mais pour que notre étreinte soit accomplie et totalement consommée il faut que tu me livres aussi ton charmant trou du cul !— Je ne l’ai jamais fait à personne !— Raison de plus pour m’offrir ainsi ce qu’il te reste de virginité ! Cette réponse évidente me laissa totalement désarmée à tel point qu’au bout d’un instant c’est moi qui pris la décision soudaine de m’emparer de sa bite pour la positionner résolument tout contre ma rondelle. Il n’eut pas à esquisser le moindre geste et c’est moi qui en me ...
... redressant et en plaquant mon dos contre son torse, c’est moi seule qui vins empaler ma croupe contre son sexe triomphant. J’étais devenue une cavalière consciencieuse et lubrique qui chevauchait gaillardement mon nouvel étalon qui semblait étonné de mon attitude soudain si délurée malgré la douleur puissante qui envahissait le tréfonds de mon postérieur ! J’ai dû à un moment perdre connaissance… Lorsque je me suis réveillée encore nue et à l’abandon, affalée contre le cuir du sous-main du bureau de Sébastien, son père était quant à lui déjà tout habillé et se penchant vers moi il me dit : — Il va falloir apprendre à ne rien laisser paraître… et continuer à nous vouvoyer comme par le passé… Il m’offrit son sourire le plus séduisant et un tendre baiser qui caressa tout juste mes lèvres. Je ne m’étais jamais sentie aussi femme ! Quand une heure plus tard mon mari qui me semblait ce jour-là plus jeune encore que d’habitude et aussi à sa manière tellement beau vint me rejoindre pour m’adresser à son tour un tendre baiser, je fus surprise de ne sentir aucune gêne. C’était un peu comme ci chacun de ces hommes, représentant les charmes de leur génération respective, devaient naturellement à leur tour combler mes désirs de femmes dont je n’avais pas saisi jusqu’ici l’étendue. En quelque sorte j’étais prête à assumer ce rôle de maîtresse voluptueuse du père comme du fils… mais les évènements en décidèrent autrement. Hubert prit à nouveau ses distances et de façon durable et bientôt je me ...