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Le plus beau jour de ma vie
Datte: 03/01/2019, Catégories: fh, extracon, alliance, grossexe, hépilé, noculotte, rasage, facial, Oral pénétratio, journal,
... pointait impudiquement vers le sol devant ses pieds. Il me venait des idées. Non, il ne fallait pas ! J’ai tourné la tête. J’ai essayé de faire remonter le niveau de moralité dans la pièce. Marc m’a à nouveau parlé. Par politesse, j’ai relevé la tête. — Alors, tu n’en avais jamais vues des comme celle-là ? Il me fixait avec un petit sourire. C’est vrai que j’en ai vues pas mal dans ma vie, et des plus longues encore, mais esthétiquement je trouvais la sienne parfaite ! Alors, je lui ai répondu : — Oui, mais pas récemment…— Remplis-toi la tête alors. Demain il sera trop tard ! m’a-t-il dit. J’ai à nouveau baissé le regard, à la fois pour faire ce qu’il me demandait et pour échapper à ses yeux qui me fixaient. À cette époque, Jacques faisait de la voile avec ses copains et parfois je l’accompagnais dans leurs sorties. Et pour reprendre une de leurs métaphores lubriques, Marc était en train de hisser la grand voile ! Son gland avait encore gonflé et il pointait maintenant vers mes pieds… Marc a commenté ça par un "Et hop ! ". La partie mobile de son « équipement » est rapidement passée à la verticale et ce gros gland pour lequel allait toute mon attention est venu masquer son nombril. Je me suis retrouvée gênée… Moi ! Jamais je n’aurais cru pouvoir être mal à l’aise devant un homme en érection. Et quelle belle érection en plus ! Je commençais à avoir chaud entre mes cuisses. Ma tenue n’était pas ce qu’il y a de plus érotique : une blouse légère que je ne mettais qu’à la maison, ...
... une paire de sandales usées que je portais comme pantoufles en été et un soutien-gorge pour mon 100 D de l’époque qui était ferme mais qui avait déjà besoin d’être stabilisé. C’est Marc qui a rompu ce moment de silence : — Ça ne va pas entrer dans le slip, ce n’est pas la peine que je m’habille. Ce à quoi je lui ai répondu : — Tu ne vas pas passer à table comme ça ?— Pourquoi ? Ça te dérange ? Je croyais que tu étais une adepte du naturisme, m’a-t-il dit d’un air narquois. Il m’a rappelé une conversation que nous avions eue sur le sujet quelques mois plus tôt et où je soutenais que ce serait super si tout le monde pouvait vivre à poils. Ce à quoi Marc m’avait rétorqué : J’avais rigolé à l’époque, mais là, je ne rigolais plus. Je savais ce qu’il pensait de moi à ce moment-là ! Cela se voyait ! Je lui ai dit qu’il avait raison et j’ai enfin réussi à détacher mon regard de son sexe insolent et je suis partie vers la salle à manger en lui demandant s’il voulait boire quelque chose en apéritif. Il voulait un whisky avec des glaçons. Quand j’ai pris la direction de la cuisine pour aller chercher les glaçons, il se tenait dans l’encadrement de la porte. Je lui ai dit que je voulais passer. Il m’a répondu : — Tire la chevillette…— Si tu continues ce sont tes bobinettes qui vont faire connaissance avec mon genou et c’est toi qui va choir ! Je te rappelle que tu es le frère de mon mari, alors arrête tes conneries, calme-toi et va t’habiller ! lui dis-je. Il s’est écarté pour me laisser ...