Le plus beau jour de ma vie - Histoires de Sexe

Le plus beau jour de ma vie

... passer et a reculé d’un pas dans le couloir. — Tout d’abord, je ne suis pas le frère de ton mari, je ne suis que son demi-frère et puis il n’est pas encore ton mari. J’ai dit que c’était tout comme. Il a continué. — Et puis, si ce n’est pas encore fait, ton cher futur mari va bien bander lui aussi ce soir, et à mon avis il va bien se les vider ses bobinettes pendant que tu seras là à l’attendre seule dans ton lit ! Je lui ai fait face et lui ai répondu : — Ça, c’est mon problème ! Et même s’il me trompe ce soir, ce n’est pas à toi à venir te proposer comme objet de ma vengeance !— Ma pauvre regarde-toi avant de faire la moraliste ! Tu louches sur mon sexe depuis tout à l’heure. Ferme la bouche, tu es en train de baver ! Je suis certain que tu as la culotte trempée ! Pour clore cette conversation et désamorcer l’ambiance qui commençait à se plomber, j’ai dit : — Je te fais remarquer que je n’en porte pas ! Puis, j’ai continué mon chemin vers la cuisine. Les glaçons étaient dans le congélateur, une « banque ». Je l’ai ouverte et me suis penchée en pestant contre mon 1m55 et « le bordel qu’il y avait dans ce congélateur » ! J’ai fait remarquer à haute voix : — Jacques ne remet jamais des glaçons au congélateur par contre il sait foutre le bordel quand il vient manger une glace et les bacs se retrouvent au fond à chaque fois… Je ne faisais plus attention à Marc, j’étais « à fond » dans le bordel du congélateur… J’ai poussé un cri quand ma blouse a été relevée et déchirée en deux ...

... en partant du bas jusqu’au milieu du dos. Puis, une main m’a attrapé fermement la nuque et a appuyé pour maintenir ma tête et tout le haut de mon corps dans le congélateur. Puis, je me suis laissée faire… À quoi bon lutter ? Surtout quand on n’en a pas du tout envie ! J’ai écarté les pieds quand un des genoux de Marc s’est immiscé entre le bas de mes cuisses, et quand j’ai senti son gland tant convoité venir se frotter entre le haut de celles-ci, je me suis cambrée et offerte… Il m’a pénétrée tout doucement en faisant des remarques sur mes poils qui frottaient. Ce à quoi j’ai répondu : — Tu ne l’as pas encore vu, mais je suis une vraie blonde… Ce serait dommage de raser ça, non ? C’est tellement mignon et puis ton frère adore !— Je vais te rafraîchir ça tout à l’heure. Il va adorer encore plus ! Et cela lui fera une surprise pour la nuit de noces ! m’a-t-il dit. J’ai trouvé l’idée de la surprise sympa… J’ai dit à Marc : — Tu permets qu’on ferme le congélo ? J’ai froid et on va tout décongeler comme ça.— Au moins, tu n’as pas froid au cul ! Une vraie petite fournaise ! m’a-t-il répondu. Il m’a lâché la tête, j’ai fermé le congélateur puis je me suis appuyée dessus et j’ai encore plus cambré les fesses. Il n’était pas sorti de moi et m’a attrapée par les hanches avant de commencer ses va-et-vient. Mes seins me servaient d’amortisseurs sur le congélateur et je bougeais d’avant en arrière en appui sur eux et sur mes mains. Mes tétons frottaient contre mon soutien-gorge et cela ne ...