1. Avant que tout s'efface...


    Datte: 03/01/2019, Catégories: fh, couple, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, fsodo, tutu,

    ... doigt curieux… Ma langue suit le mouvement général, agrippe à son tour ton anus qu’elle lape à petits coups gourmands. L’inconscience te fait fondre sous ma bouche avide. Je t’encule de mon plus court appendice, malheureux qu’il n’y ait de meilleurs mots pour décrire l’indicible sensation qui s’empare de nous en ce moment. Tu es élastique, souple et ouverte et mes doigts en profitent qui plongent, quatre à la fois, dans tes sphincters. On pourrait plonger deux sexes dans ce divin orifice, tu ne te réveillerais pas encore. Pourtant, la liqueur qui jaillit de ta source montre que tu es là, que ton plaisir est là, étrange… Je me repais ainsi de longues minutes au rythme nuancé de tes soupirs. Tes trous sont deux gouffres désormais, leurs chairs roses se distendent de la plus impudique façon quand j’écarte tes fesses. C’est le moment… Je tremble encore. C’est que l’heure est grave, l’ambiance lourde de sensualité et de crime. Si j’échoue, c’est à une mort lente que je serai condamné. Si j’échoue, tu seras sans pitié. C’est donc avec mille précautions que je me retourne, ton goût salé obsédant dans la bouche, pour pointer entre tes fesses mon membre douloureux à force de bander. J’hésite un instant. Un certain ordre établi voudrait que je me tende vers ta fente en premier lieu, que je pénètre d’abord ta chatte suintante, mais c’est trop loin… Tes jambes sont un rien trop serrées : je risquerais de t’éveiller et je ne le veux assurément pas. Aussi, c’est contre ta petite ouverture ...
    ... - plus si petite que ça d’ailleurs - que mon gland s’appuie. À peine, car il en faut peu pour qu’il s’engouffre soudain à l’intérieur de toi et que glisse ma hampe toute entière dans tes intestins. Oh, par tous les Dieux, que tu es chaude ! Tout ton antre est parcouru de délicieuses palpitations. Les soupirs dans ta bouche se sont presque faits gémissements. Ton cul m’accueille, ondule presque pour me faire entrer plus profond, ce que je m’autorise à faire car plus rien ne peut arrêter cette frénésie. Je te sodomise, ô ma déesse. Je m’en excuse et je m’en réjouis. Tu es la nuit égale au jour. Dans ton sommeil monte en toi un orgasme dont tu n’auras nul souvenir. Je te ramone fermement. Comment peux-tu encore dormir avec cette raideur au plus profond du cul et ces mains accrochées à tes hanches ? La suite m’échappe. Je ne suis plus qu’un sexe à l’intérieur de toi et je fusionne avec l’impression, hélas fugitive, de devenir dieu à mon tour. Mais je suis humain et, très vite, l’étranglement que provoque ton orgasme signe ma propre reddition. En longues salves et avec un cri étouffé, je me vide dans tes entrailles avec l’impression de mourir plusieurs fois. Mon sexe se tend autant qu’il peut, il voudrait rester, il voudrait que cela dure toute la nuit. Mais cela touche à sa fin. Lentement, les ondes cessent. L’animal s’endort petit à petit dans son étau de chairs dilatées. Ton souffle redevient paisible. Au bout de quelques minutes, la mort dans l’âme, je me décide à me détacher ...