1. Détente prolongée


    Datte: 21/06/2017, Catégories: fh, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, intermast,

    J’ai toujours eu beaucoup de plaisir à écrire. Déjà enfant, je rédigeais de petites histoires dans lesquelles mon imagination allait bon train. Je les faisais lire à mes parents et parfois à mes copains. Je recevais des félicitations qui m’encourageaient à continuer dans cette voie. Plus tard, je me mis à écrire de petits romans, puis des essais philosophiques. Récemment, j’ai découvert par hasard le site Revebebe et durant mes moments de loisirs, je parcours un certain nombre de récits. Parmi ceux qui ont attiré mon attention, certains sont fort joliment écrits, si bien qu’il m’inspirent et m’incitent à reprendre la plume pour me risquer à un genre de littérature sur lequel je ne me suis pas encore essayé. Ainsi, j’ai rédigé plusieurs textes en laissant une adresse E-Mail anonyme afin de recueillir les avis des lecteurs. J’ai reçu un certain nombre de commentaires, pour la plupart, assez élogieux. L’un de mes textes, tout à fait imaginaire concernait des massages érotiques. J’y décris une rencontre inopinée que j’ai faite avec une jeune femme, vis à vis de qui je me suis fait passer pour un kiné. Pour ce texte, j’ai reçu une douzaine de messages dont un me demandait si les faits décrits étaient authentiques. Je ne sais pourquoi, j’ai répondu dans l’affirmative. Les messages suivants eurent pour objet de me faire savoir l’intérêt de Magali (c’est le prénom de l’auteur) pour les massages et, curieusement, de connaître l’endroit où je vivais. Le hasard fit qu’elle habitait, ...
    ... tout comme moi, dans une petite ville de la banlieue lilloise. Au travers de ses messages, Magali devenait de plus en plus entreprenante et, pour la mettre à l’épreuve, je finis par lui proposer une séance en lui disant que, de mon coté, je fonctionnais à l’inspiration et que donc le scénario qu’elle avait pu lire ne se reproduirait pas forcement à l’identique. Sa réaction fut immédiate et je reçus une réponse dans la journée même. Elle était charmée et désireuse de me rencontrer le plutôt possible. Ce fût quatre jours après. Un après-midi où je posais congé. Elle m’avait indiqué son adresse et m’attendait à 15 heures. L’ascenseur étant en panne, je grimpai quatre à quatre les marches jusqu’au troisième étage avant de sonner à sa porte. Elle m’ouvrit vêtue d’un chemisier rouge et d’une jupe noire. D’allure assez mince, une poitrine plutôt menue, des jambes agréables à regarder, Magali semblait avoir la quarantaine. C’était une femme joyeuse, d’apparence gaie, et je ne tardais pas à la trouver un tantinet rigolote. Elle me fit asseoir et me proposa un café. Nous parlâmes quelques minutes de sa vie et de la mienne. Elle était divorcée et un peu seule en ce moment. Elle aimait les divertissements et avait beaucoup de phantasmes. Magali voulait faire de cette période de sa vie, entre deux eaux, un terrain d’expériences qu’elle n’avait pas eu l’occasion de réaliser au préalable et qu’elle ne pourrait probablement plus satisfaire par la suite, lorsqu’elle serait à nouveau en couple. ...
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