1. Détente prolongée


    Datte: 21/06/2017, Catégories: fh, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, intermast,

    ... fesses », lui intimais-je. Magali se mit à nouveau sur le dos et, saisissant l’élastique de sa culotte, je fis descendre celle-ci sur ses cuisses. « Ton cul est très bandant ! » J’appliquais une bonne rasade d’huile et commençais le pétrissage de son fessier. Je malaxais chaque fesse avec sensualité, composés de mouvements circulaires se terminant dans la raie, l’index glissant jusqu’à l’anus, le frôlant pour aboutir à l’entrée du vagin, à l’extrémité des grandes lèvres. À ce moment, Magali réagissait par un soupir et une légère contorsion. « Elles sont jolies tes lèvres. Bien roses et luisantes. Tu as envie de caresses, n’est-ce pas ? ». « Oui… », répondit-elle dans un soupir proche du râle. Du coup, mon majeur s’introduisit entre les petites lèvres de cette petite coquine et masturba subtilement son antre capiteux, du bord du vagin jusqu’au clitoris. De petits grognements s’échappèrent de la bouche de Magali, qui s’intensifièrent lorsque mon doigt pénétra sa grotte d’amour. Plus besoin d’huiles, la lubrification était telle qu’un clapotis se faisait entendre à chaque fois que mon doigt ressortait. J’insérais deux, puis trois doigts lorsque la chatte de Magali se mit à se serrer de façon spasmodique. Le cri accompagnant cette constriction confirma qu’elle venait de jouir. Elle se retourna et retira complètement sa culotte, écartant les cuisses dans une impudeur manifeste. « Je voudrais aussi te masser », me dit-elle, malicieuse. « Je veux bien ». Je me déshabillais ...
    ... donc entièrement, libérant ma queue bandante de désir et m’allongeais sur le dos. Magali s’imprégna les mains d’huile et l’appliqua sur mon torse velu en descendant vers mon ventre. Son massage, elle à poil, les nichons ballottant devant mon visage, était loin de me faire débander. Pour m’exciter encore plus, elle s’attaquait à mes cuisses en ayant soin, au passage de me taquiner les couilles. Mon gland perlait. Le regardant, elle s’étonna : « Qu’est-ce que cette huile qui goutte de ce grand pieu ? ». Et, joignant le geste à la parole, son doigt vint étendre mon liquide sur le gland en un geste circulaire, ce qui eut pour effet de le faire couler davantage. Elle s’y reprit à deux ou trois fois, puis s’exclama, d’une voie enfantine : « Il est bien trop plein, je vais le vider ! ». Magali imprégna des deux mains d’une grosse dose d’huile et se mit à me branler, une main après l’autre. C’était délicieux. Mes couilles remontaient se coller à ma queue en érection. Ses mouvements passaient de lents et appuyés à des saccades rythmées. Lorsque mon souffle devint court qu’elle me devina au bord de l’orgasme, elle ralentit et me pressa les couilles en me disant : « Vide-toi, mon cochon, crache ta semence sur mes seins ! ». Ces paroles eurent pour effet de provoquer une éjaculation spasmodique. Mon sperme éclaboussa sa poitrine et son cou. Magali rit à gorge déployée. Je ris aussi. Après nous être rhabillés, nous bûmes un verre et nous quittâmes comme si rien ne s’était passé. 
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