Bécassine, c'est (plutôt c'était) ma voisine
Datte: 03/01/2019,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
voisins,
intermast,
Oral
pénétratio,
occasion,
... ?— Faites comme chez vous.— Je suis tout à fait inexpérimentée. Guidez-moi, Guillaume.— Pour commencer, baisouillez-le et léchez-le. Du gland jusqu’aux testicules. Elle mit tant de cœur à l’ouvrage que rapidement ma hampe de plus en plus raide tressautait à chaque coup de langue. Mes petits spermatos se battaient pour savoir qui franchirait le premier la ligne d’arrivée. Je dus la repousser. Elle s’inquiéta : — Pourquoi ? Je ne fais pas comme il faut ?— Au contraire, ma mie, vous y arrivez trop bien. Si je ne vous avais pas arrêtée, j’allais jouir.— C’est vrai ? s’exclama-t-elle, rose de contentement.— Oui, et vous n’auriez pas pu passer à la leçon numéro 2.— Vous sucer, c’est ça ?— Oui, tout à fait ! En commençant par le gland.— Mais elle est très grosse et longue ; je n’arriverai pas à l’avaler en entier.— Je ne vous demande pas ça, lui répondis-je, flatté de son jugement. Ma satisfaction s’éteignit vite. Elle trouvait ma bite grosse et longue car son Jean-Pierre devait être monté fin – sans doute normal pour un pêcheur à la mouche. Si mon vit était doté d’un diamètre intéressant, sa longueur ne sortait pas de l’ordinaire. Ce bref dialogue avait permis à mes spermatos de retourner dans leurs starting-blocks. Bravement, elle emboucha mon gland décalotté. Elle entama par de petits allers-retours ne dépassant guère le prépuce. Peu à peu, elle s’enhardit, ses lèvres montaient de plus en plus haut sur mon membre. Je compris vite qu’elle avait la volonté de toucher mon pubis. Je ...
... ne voulais pas la perturber, aussi restai-je immobile. Mais j’avais mes limites. Elle les dépassa quand ses mains, jusque-là sagement plaquées contre mes cuisses, agrippèrent mes fesses pour lui permettre d’atteindre son but. Il fut atteint. Elle voulut rester collée. Mais ma bite ne l’entendait pas de cette oreille. Le starter avait libéré mes petits coureurs. Je baisai sa bouche comme si c’était un vagin. Quand je sentis que j’allais exploser, je la prévins et je voulus me retirer. Que nenni ! La femme de Jean-Pierre, en bonne chrétienne, avait décidé de boire le calice jusqu’à la lie. Elle me tint fermement pour que je ne puisse, indûment, m’extraire de sa bouche. Je déversai en elle toute l’excitation qu’elle m’avait procurée depuis le début du repas. Elle hoqueta quelque peu, mais avala sans sourciller, continuant de me téter jusqu’à assèchement final. Une fois encore, elle me cloua : elle avait réalisé, à son premier essai, un truc que Mathilde m’avait toujours refusé. Quand elle libéra mon vit, elle récupéra avec sa langue la semence qui avait coulé aux commissures de ses lèvres. Ma gentille voisine apprenait vite. Son crétin de mari ne savait pas ce qu’il avait raté ! Sans lâcher mes fesses, elle se releva, lova son corps contre le mien. Nouveau baiser perforant de sa bouche affamée qui fleurait bon ma mouille. Sa fellation l’avait de nouveau mise en condition. Elle frottait son mont de Vénus contre ma bite ramollie, quémandant. Sauf qu’elle m’avait, au propre comme ...