Bécassine, c'est (plutôt c'était) ma voisine
Datte: 03/01/2019,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
voisins,
intermast,
Oral
pénétratio,
occasion,
... Ils s’arrêtèrent à quelques millimètres de la cible. Du dos de la main, je caressai l’intérieur de ses cuisses. Janine feignait toujours l’ignorance, mais sa peau frissonnait à chaque effleurement. — Ellevousademandédel’enculer ? Elle avait débité la phrase d’une seule traite et s’était signée. — Ça n’a rien de sale, Janine.— Oui, mais les sodomites sont damnés !— Si vous le dites ! Mon index approchait de son minou. Du moins de sa culotte qui témoignait d’une humidité de bon augure. — Et en plus ça doit être affreusement douloureux, je vois bien quand je suis constipée. L’image de Bécassine en train de pousser me fit sourire. Sa dernière remarque me faisait penser que ce n’était pas tellement la damnation qui l’inquiétait, mais plutôt la douleur. D’une pulpe légère, je massai le coton sans que cela ne provoque aucune réaction visible. Je descendis très bas, bien au-delà de son sexe. Témérairement, je m’introduisis entre ses globes, en direction de son anus. Aucune réaction de rejet. — Ce peut être très agréable. Certaines femmes aiment. Mathilde, par exemple. D’autres n’apprécient pas du tout. Mais si on en revenait à vous. Donc, vous avez pris du plaisir avec votre mari ?— Au début, oui ! Je le croyais du moins. Quand on est amoureuse… Mais quand au bout de plusieurs mois de mariage, c’était toujours la même chose… Sur le dos, jambes écartées, lui dessus. Dix minutes, les bons jours et lumière éteinte, car le Bon Dieu ne veut pas que…— Effectivement, pas marrant. Je ne me ...
... gênais plus. Le majeur avait rejoint l’index. J’exerçai une pression plus importante sur ses lèvres, et lorsque mes doigts s’insinuèrent dans son entrefesse, le passage s’ouvrit sans aucune contraction de sa part. Imperturbable, elle poursuivait son récit : — Comme vous dites ! Les premières années, j’ai essayé. Quand je discutais avec des amies, je voyais bien que chez elles, ça se passait différemment. Mais il n’a jamais rien voulu savoir. J’ai essayé de caresser sa verge, de pousser sa tête vers mon sexe, mais c’est tout juste s’il ne m’engueulait pas.— La peur de la damnation, sans doute, ricanai-je.— Alors, je me suis résignée. Par chance, ses besoins sont limités et monsieur mon mari se vide en moi une ou deux fois par mois. Sans précaution d’aucune sorte.— Quel malotru ! m’exclamai-je alors que mes doigts venaient de s’introduire sous la culotte. Ma voisine s’alanguit. Elle poussa son bassin à la rencontre de son visiteur du soir. Elle était à quelques centimètres de s’asseoir sur mes genoux. Son néné gauche s’écrasait littéralement contre mon bras. Lui-même totalement coincé entre nos deux torses. Je le dégageai doucement et le posai négligemment sur le dossier de la banquette. Ma main s’égara sur son épaule, effleurant le haut d’un sein. — Après la naissance de mon troisième, je lui ai demandé de faire attention. Je ne voulais pas d’un autre enfant. Il m’a répondu que ce n’était pas son problème.— Quel con ! Oups, désolé, je n’aurais pas dû dire ça ! Pourtant vous ...