Son vieux copain
Datte: 11/08/2017,
Catégories:
fhh,
frousses,
extracon,
vengeance,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
couple+h,
... l’autre se touchant discrètement. Alors, soudain prise du désir irrépressible de coller son corps nu à son invité, elle voulut danser avec lui. Justement, un slow très lent, venu à point nommé, commençait tout juste. Cessant sa ronde folle, Julie se planta devant Hervé, une jambe en avant, une main sur la hanche et l’autre tendue vers lui : — Alors ? Tu me fais danser ? Il n’y tenait déjà plus, tant son excitation était forte, alors l’idée de prendre dans ses bras ce corps superbe et presque nu, le fit se lever d’un bond. Elle se pendit aussitôt à son cou et, collée à lui, commença un lent mouvement de balancement au rythme de la musique. Pendant les premières notes, Hervé se contenta de poser pudiquement une main sur son épaule et l’autre sur sa hanche. Mais cela ne dura pas longtemps. Le contact de ce corps chaud, nu et vivant finissant de faire monter sa température, ses mains entreprirent l’exploration du dos de la belle Julie. Il trouva sa peau si douce et si délicate qu’il l’effleura à peine, la faisant frémir de plaisir. Elle s’était lovée au creux de son épaule et sa chevelure soyeuse, au contact de sa joue, l’enivrait de son subtil parfum à la fois entêtant et étourdissant. À cet instant, Hervé sentit sa verge tendue comme elle ne l’avait jamais été et il avait l’impression qu’elle était prête à exploser. — Tu es terriblement ensorcelante, lui susurra-t-il à l’oreille. Beaucoup trop troublée elle-même pour lui répondre, elle ne dit mot. Les caresses fébriles de son ...
... cavalier, mais aussi cette grisante fragrance mâle qui émanait de lui, firent défaillir Julie et elle se sentit partir, soudain submergée par une vague de bonheur. Elle eut un violent besoin du contact serré avec cet homme viril et séduisant qui l’attirait comme un aimant et qu’elle désirait déjà. Elle se rendait pourtant bien compte qu’elle était en train de jouer avec le feu, qu’elle risquait de s’abandonner complètement à lui, d’être incapable de le retenir s’il devenait trop entreprenant. Mais son instinct de femme étourdie de désir fut le plus fort. Elle s’écarta très légèrement de lui pour mieux caresser l’énorme bosse que faisait son pantalon, n’hésitant plus à le provoquer, telle une allumeuse de cabaret. — Ce gros sexe est beaucoup trop à l’étroit, dit-elle. Il faut le libérer de sa prison, tu ne trouves pas mon beau ? Sans attendre la réponse et toujours poussée par ce désir irrépressible qui l’obsédait, elle ouvrit la braguette de son cavalier, tira fébrilement sur son boxer et parvint, non sans difficultés, à en extraire une verge turgescente à souhait qu’elle commença à masturber avec une lenteur mesurée comme une amante promise aux plaisirs. Son langage même devint plus cru : — Ta queue est toujours aussi belle, lui chuchota-t-elle à l’oreille plus provocatrice que jamais. Je la reconnais bien ! L’autre, n’en pouvait plus. Cette envoûtante masturbation le débarrassa de ses derniers scrupules et maintenant persuadé qu’il avait en face de lui une libertine prête à ...