Son vieux copain - Histoires de Sexe

Son vieux copain

... tout, il adopta lui aussi un langage plus direct et plus provocateur : — Tu l’as sucée assez souvent, hein, petite salope, lui chuchota-t-il à son tour d’un ton conquérant. Je suis sûr que tu aimes toujours ça et que tu as encore envie d’y goûter !— Ne te méprends pas sur mes intentions, mon grand, répondit-elle tentant de maîtriser tant bien que mal ses pulsions. Je ne suis pas celle que tu crois ! Je veux juste provoquer un peu mon mari, le rendre jaloux. Rien de plus. Ils reprirent leur danse lascive et de plus en plus troublante. Mais cette fois, c’est lui qui se colla à elle, alors elle sentit cette verge nue et tendue à l’excès serrée entre leurs deux corps. Ce contact décupla son excitation et une chaleur intense irradia tout son bas-ventre. Le plaisir qu’elle prit alors fut au-delà de tout ce qu’elle aurait pu imaginer et elle se demanda bien ce qui lui arrivait. Elle se dit qu’elle devrait se méfier de ses pulsions primaires et reprendre le contrôle de la situation. Hervé, lui, était persuadé que cette petite bourgeoise perverse ne se contenterait pas de l’allumer comme elle voulait bien le laisser entendre, et même s’il ne se passait rien ce soir devant le mari, il était certain qu’ils se reverraient et qu’alors elle lui céderait. Il se vit soudain en train de la baiser avec une énergie formidable, tandis qu’elle hurlait son orgasme, submergée de plaisir. Cette image le stimula tant qu’il voulut la provoquer afin de voir jusqu’où elle était prête à aller : — Que ...

... veux-tu me faire croire, petite mijaurée ? J’ai plutôt l’impression que tu prends un pied géant à te frotter contre ma bite, n’est-ce pas ? lui chuchota-t-il à l’oreille.— Ne dis pas de bêtises, rétorqua-t-elle, et préviens-moi plutôt avant d’éjaculer. Je ne voudrais pas être obligée de prendre une douche.— Tu as donc l’intention de me faire jouir, petite perverse, continua-t-il sur le ton du chuchotement, de plus en plus grisé par le désir ! Stéphane, de son côté, toujours sidéré par l’audace de sa « petite salope » restait passif. Il aurait pourtant dû se lever, les séparer, réagir enfin ! Il était quand même le mari, un mari qu’elle humiliait devant leur invité ! Ce n’est pas parce qu’il l’avait trompée une fois qu’elle avait le droit de lui faire subir pareil affront ! Il y avait quand même des limites ! Au lieu de ça, comme hypnotisé et toujours terriblement excité par ce qui ressemblait de plus en plus à un véritable peep-show, il se contentait de continuer sa masturbation en voyeur vicieux, alors que sa Julie se vautrait « comme une putain » contre ce salaud qui devait bien en profiter. Julie, quant à elle, n’en pouvait plus de ce contact sexuel contre son ventre qui attisait ses sens et l’étourdissait au-delà de tout. Des visions érotiques traversèrent son esprit, ses pensées devinrent confuses et irréfléchies et une idée stupide s’imposa tout à coup à elle. Elle s’écarta à nouveau légèrement de son cavalier, se saisit de son membre et le glissa entre ses cuisses. Puis, ...