Son vieux copain
Datte: 11/08/2017,
Catégories:
fhh,
frousses,
extracon,
vengeance,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
couple+h,
... étais à la fac de Nantes, si je ne me trompe ? Comment as-tu pu le rencontrer ici ?— En fait il habite Paris depuis près de cinq ans… Oh, et puis tu m’ennuies avec tes questions, fini-t-elle par dire agacée. Tu verras bien samedi ! Il n’en sut pas plus ce soir-là et pas davantage les jours suivants. Sa Julie semblait vouloir entretenir le mystère autour de ce « copain » et Stéphane en conçut une vague inquiétude. Il se posa bientôt mille questions sur la nature de leur relation, imagina tous les scénarios et finit peu à peu par soupçonner son épouse d’avoir trouvé consolation dans les bras de ce « vieux copain ». Le samedi soir venu, ses soupçons devinrent instantanément conviction quand il vit entrer chez lui ce beau gosse un peu bellâtre et trop sûr de lui à son goût. D’emblée ce type lui fut hautement antipathique. — Eh bien voilà, je te présente Hervé, dit Julie. Puis se tournant vers l’autre, Stéphane, mon mari. Stéphane lui adressa un « enchanté » un peu forcé tout en observant du coin de l’œil ce type qu’il exécrait déjà. Le nouveau venu tendit un bouquet à la maîtresse de maison, qui le reçut avec un enthousiasme que Stéphane trouva excessif : — Oh il ne fallait pas… Elles sont vraiment ravissantes. Tu es fou, Hervé !— Julie m’a beaucoup parlé de vous, commença-t-il s’adressant à Stéphane. Je suis moi aussi enchanté de vous connaître. « Tu parles… » pensa-t-il, tout de même interloqué de constater que ces « amants-là » parlaient entre eux du mari trompé ! Drôle de ...
... passe-temps ! L’autre continua : — Vous êtes dans la finance, m’a dit Julie ?— Oui, enfin si on veut… Je suis conseiller clientèle dans une Caisse d’Épargne.— Ah. Intéressant. J’aurais justement quelques conseils à vous demander au sujet d’un placement. Julie le pria de s’installer dans un fauteuil, tandis que le couple s’installa en face, dans le canapé. — Alors comme ça, vous avez connu Julie à l’université, dit Stéphane en s’efforçant d’être aimable.— Oui en effet. On devait avoir 19 ou 20 ans tout au plus quand on s’est rencontrés. J’ai tout de suite aimé sa joie de vivre et son sens de l’humour. Elle est rapidement devenue ma meilleure copine, celle à laquelle je n’hésitais pas à me confier. Stéphane l’écoutait dubitatif, déjà persuadé que ce type avait eu une liaison amoureuse avec Julie. Il mit donc malicieusement les pieds dans le plat : — Copine seulement ? dit-il d’un air entendu. Julie est si jolie que j’ai du mal à croire que vous n’ayez pas tenté de l’embrasser.— Oh oui bien sûr ! Mais nous étions si jeunes. Il y a prescription, n’est-ce pas ? « Ce salaud a sûrement essayé de la baiser. » se dit Stéphane à part lui tout en continuant à l’observer avec mépris !« Et elle ? Avait-elle cédé ? » Julie n’était plus vierge quand il l’avait rencontrée.« C’est peut-être ce petit con qui l’a déflorée ! » pensa-t-il horrifié. En tout cas, Stéphane trouvait que le regard du bellâtre tombait un peu trop souvent sur les jambes de son épouse, preuve que le charme de sa Julie ne le ...