1. Son vieux copain


    Datte: 11/08/2017, Catégories: fhh, frousses, extracon, vengeance, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, couple+h,

    ... laissait pas indifférent. Ce soir-là, elle avait particulièrement soigné son maquillage, soulignant de noir ses jolis yeux bleus ; elle s’était aussi parée de longues boucles d’oreille dorées en pendentif. Elle était vêtue d’une robe légère, de couleur unie vert foncé, largement ouverte dans le dos. Assez courte, elle découvrait un peu plus que le genou dès que Julie croisait les jambes. Elle était si séduisante qu’il ne put s’empêcher de penser que c’était sûrement pour son « amant » qu’elle s’était faite belle. Le début de la soirée se déroula sans événement particulier. Stéphane trouvait que cet Hervé n’avait décidément pas beaucoup de conversation et ne débitait que des banalités sans intérêt. Il s’ennuyait comme jamais, tandis que sa Julie, elle, ne cessait de papillonner autour de cet invité de malheur, ce qui l’exaspérait prodigieusement. Lorsqu’ils furent à table, ce ne fut qu’un concert de louanges pour la cuisinière. Hervé ne cessait de complimenter Julie d’une manière que Stéphane trouvait excessive. Tout le long du repas, ce ne furent que des « C’est délicieux !», ou « Tu cuisines merveilleusement bien ! », ou encore « Quel talent tu as ! » À Stéphane, il finit par dire : — Comme vous avez de la chance d’avoir un tel cordon bleu à la maison. Le « vous » restait en effet de rigueur entre les deux hommes. Hervé aurait bien voulu être aussi familier avec Stéphane qu’il l’était avec Julie, mais il ne parvenait pas à le tutoyer. Même si un « tu » lui échappait bien de ...
    ... temps en temps au milieu de la conversation, il se reprenait aussitôt devant l’insistance du mari à le vouvoyer. Car ce dernier n’avait pas la moindre envie de se montrer intime avec celui qu’il considérait déjà comme l’amant de sa femme, persistant à lui adresser des « vous » peu chaleureux, affirmant sans ambiguïté sa volonté de garder ses distances. Le repas avançant, Hervé continua ses flatteries au grand dam de Stéphane : « Julie, tu es une cuisinière hors pair ! », « Tu es une vrai perle ! », etc. — Quel vilain flatteur, répondait la maîtresse de maison tout émoustillée par cette débauche de compliments. Tu vas me faire rougir. « Julie par-ci, Julie par-là… Petit con ! » se dit Stéphane de plus en plus excédé. À la fin du repas, Julie proposa un café. Stéphane espéra que l’autre refuserait, tant il avait hâte de le voir déguerpir au plus vite, mais au contraire l’autre accepta et même avec un enthousiasme qu’il trouva déplacé. — Bien volontiers. Pas de bon repas sans bon café, n’est-ce pas ? « Tes préceptes à deux balles tu peux te les mettre où je pense ! » se dit Stéphane à part lui, contenant sa fureur. — Tu veux bien t’occuper des cafés mon chéri ? lui dit-elle.— J’y vais, maugréa-t-il l’air sombre en filant à la cuisine. Quand il s’y retrouva seul devant la machine à café, il réalisa que les deux autres étaient au salon, dans une sorte d’intimité dont la seule pensée lui fut insupportable. Au moment où il inséra la première capsule, il pensa à cette pub où George ...
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