1. Son vieux copain


    Datte: 11/08/2017, Catégories: fhh, frousses, extracon, vengeance, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, couple+h,

    ... mari, elle le défia encore : — N’est-ce pas mon chéri ? Ça ne te dérange pas qu’Hervé caresse les jambes de ta petite femme ? Puis, continuant à le braver, elle reprit le poignet d’Hervé pour lui poser à nouveau la main sur ses cuisses. Elle était à cet instant tellement obsédée par la seule idée de provoquer son mari, de lui prouver qu’elle pouvait elle aussi plaire et qu’elle était même prête à s’offrir à un autre. À ce désir de vengeance s’ajoutait aussi une attirance certaine pour l’homme qui l’avait autrefois séduite et qu’elle avait aimé avec la passion de la jeunesse. Elle se dit qu’en continuant à l’exciter elle parviendrait sûrement à faire monter son désir et qu’alors il deviendrait plus entreprenant. S’installant bien à cheval sur le bras du fauteuil, elle écarta très largement les cuisses, découvrant un joli petit string noir à dentelle. Dans son infortune, Stéphane fut au moins rassuré qu’elle ne fût pas le sexe à l’air devant l’autre. Hervé, quant à lui, ne pouvait plus détacher ses yeux exorbités des cuisses de cette « petite dévergondée » qui se montrait aussi torride que lors de leurs premières relations et dont l’audace le stupéfiait. Tout en profitant de l’instant, il se demandait bien ce qui pouvait la pousser à humilier ainsi son mari. Le contact avec la cuisse chaude et lisse de Julie lui rappela le soir où, pour la première fois, il avait glissé la main sous sa jupe. Amusée, elle avait alors suivi du regard cette main intrusive s’immisçant ...
    ... effrontément entre ses cuisses. Elle l’avait laissé faire. Ce soir-là pour la première fois, les doigts d’Hervé investirent le sexe humide de la jeune étudiante. Cette évocation ne fit que le stimuler et un désir grandissant s’empara de lui. Pourtant, il était toujours gêné, intimidé même par ce mari complaisant qui assistait cyniquement à la scène en voyeur. Il essaya donc sinon de l’oublier, au moins d’ignorer sa présence et il laissa sa main sur cette cuisse à la peau douce et blanche, si agréable à toucher. Ce contact ne tarda pas à le faire saliver. Quant à Julie, elle s’impatientait de plus en plus de voir son invité toujours aussi timoré. Elle aurait tellement aimé à cet instant qu’il la caressât sans retenue, comme un amant fou de désir, sans se préoccuper du mari. Mais au lieu de cela il ne bougeait même pas le petit doigt et se contentait de coller son regard exorbité sur son entrejambe. Alors, elle lui saisit à nouveau le poignet et lui guida la main d’un geste lent, mais résolu, remontant sur sa cuisse jusqu’à ce qu’elle sentit le contact de cette main avec la frêle barrière de nylon qui protégeait son intimité. Arrivé à ce point, soudain prise d’une tentation incontrôlable, elle plaqua fortement cette main sur son string se donnant d’excitantes sensations qui lui firent un instant fermer les yeux. De son côté, Stéphane, bien qu’il fût ulcéré par sa « belle salope » se donnant du plaisir avec l’autre, fut pris d’une terrible excitation et sentit son sexe tout à coup bien à ...
«12...789...16»