Son vieux copain - Histoires de Sexe

Son vieux copain

... un moment ainsi, offerte aux regards de son « vieux copain » muet de stupeur. Mais la provocatrice ne se contenta pas de simplement montrer. Minaudant comme une adolescente capricieuse, elle continua : — Tu peux les toucher, tu sais ! fit-elle avec un clin d’œil. Hervé, qui commençait à sentir un désir latent monter en lui, eut très envie d’en profiter, mais il se retint, plus par prudence que par pudeur. Il se tourna alors vers Stéphane, comme s’il eût voulu trouver une approbation dans son regard. — T’inquiète pas pour mon mari, reprit-elle. Après ce qu’il m’a fait, il peut bien consentir un minimum de liberté à sa petite femme. N’est-ce pas mon chéri ! Stéphane encore une fois encaissa. Toujours assis dans le canapé en face d’eux, il assistait passivement à la scène, ne trouvant pas de mots pour répondre à cette nouvelle provocation. Paradoxalement, le fait de voir sa Julie « faire la salope » devant l’autre éveillait ses sens et en dépit d’un puissant sentiment de jalousie qui le taraudait, il sentit son sexe se raidir. C’était comme une réaction involontaire. Impensable, mais cela l’excitait ! Julie, quant à elle, toujours plus aveuglée par sa profonde obsession à provoquer, trouvait qu’Hervé manquait d’audace. Elle aurait voulu qu’il se montre plus entreprenant, qu’il prenne l’initiative. Au lieu de cela, il semblait comme paralysé. — Eh bien ? continua-t-elle se tournant vers lui. Tu étais moins timide quand on était étudiants ! Qu’est-ce que tu attends pour ...

... caresser mes jambes ? Mais voyant que son « vieux copain » hésitait toujours, elle lui saisit le poignet d’autorité et lui posa la main sur ses cuisses, à la limite de ses bas. — À l’époque, continua-t-elle en riant, ta main était tout le temps fourrée sous ma jupe ! Tu ne t’en souviens pas ? À ces mots, Stéphane se convainquit que ce salaud avait baisé sa femme et cette pensée lui donna envie de vomir. Soudain il eut un flash : sa belle Julie était étendue nue sur un lit, les cuisses largement écartées, tandis que l’autre se jetait sur elle et la pénétrait avec une sauvage brutalité. Il chassa vite cette insupportable vision de son esprit.« Que vont-ils faire maintenant ? »se demanda-t-il.Ils ne vont tout de même pas remettre ça devant moi, non ? » De son côté, Hervé avait de plus en plus chaud. Se souvenant des délicieux moments passés autrefois avec Julie, il aurait bien volontiers cédé à nouveau à la tentation. Il la trouvait en effet encore plus jolie qu’avant. Ses traits s’étaient encore affinés, sa silhouette était restée mince malgré la maternité et elle avait une grâce et une féminité extraordinaires. Mais il se retenait car la présence du mari le gênait. Il aurait tellement aimé se trouver seul avec elle. — Ce n’est plus pareil aujourd’hui, finit-il par bredouiller… Tu es mariée et… ton mari… Il retira furtivement sa main, comme soudain intimidé. — T’en fais pas pour lui, continua-t-elle toujours plus provocante. Je te dis qu’il est consentant. Puis, se tournant vers son ...