1. Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Claude (1)


    Datte: 04/01/2019, Catégories: Hétéro

    ... totalité de ma longue queue dans sa bouche, le gland lui obstruant le palais, Claude salive abondamment sans pouvoir vraiment déglutir. Je sens ma verge comme enveloppée par un cocon étroit, chaud et moelleux. Grisé par cette nouvelle sensation, je relâche ma pression sur sa nuque. Elle en profite pour se rejeter vivement en arrière pour reprendre son souffle, crachant mon gros chibre qui lui obstruait la gorge. – Ouah !... Quel morceau, s’exclame-t-elle, les commissures des lèvres luisantes de salive... Tu as bien failli m’étouffer...Je n’ai jamais mis dans ma bouche un tel mandrin. Tu sais que tu es rudement bien monté, continue-t-elle, et tu es tellement gros que j’ai eu de la peine à te prendre en bouche, tu devras te méfier de ne pas te montrer trop exigeant avec les filles lorsque tu leur demanderas de te faire une pipe. Ne bouge pas, il faut que je mesure ce monstre! Elle va prendre un mètre de couturière et revient s’agenouiller face à ma queue: -Voyons voir pour la longueur, 22cm, mon Dieu Pierre, elle fait 9 cm de plus que la tienne!.... S’exclame-t-elle, un sacré beau morceau ! Puis elle enroule le mètre autour de la hampe, Wouuaahhhh! C’est pas possible, elle fait 18 cm de tour, elle est énorme!!!! Mes doigts font à peine le tour de ton formidable engin! A ces mots, je la fixe étonné, je ne savais pas que j’étais ce qu’on appelle "un homme très bien membré". La voix de Claude me tire soudainement de mes réflexions : – Tu veux lécher ma chatte ?... Ça te dit ? ...
    ... Je rougis encore plus que tout à l’heure, elle me demande de réaliser un de mes rêves ! Elle me propose cette caresse buccale qui me fait tant fantasmer. Ma réponse est immédiate : – Oh oui que je veux! – Tu as déjà léché une chatte ? M’interroge-t-elle. Gêné, je lui avoue. – Euh, non. – C’est vrai ?... Je serai la première ? s’exclame Claude l’air ravi... Tu veux que je t’apprenne ? – Euh, oui. melmyyao – D’accord, mais d’abord, aide-moi à dégrafer ma robe... Je serai plus à l’aise pour ce que l’on a faire... Elle se relève, se retourne et me dit d’ouvrir sa robe. Terriblement ému, la bite toujours orgueilleusement dressée, je tire sur la petite languette, baissant la fermeture-éclair, découvrant sa peau nue barrée par la lanière dorsale du soutien-gorge, puis arrivant au niveau de sa croupe rebondie ça coince. Claude repousse les épaulettes le long de ses bras. La robe glisse lentement avant de se retrouver en tas à ses pieds. Je contemple émerveillé l’affolante cambrure de reins et l’incroyable arrondie de la croupe de Claude. Ses fesses, séparées par une longue et profonde raie attirent irrésistiblement mon regard – Il te plait mon cul? Claude se mets à onduler des hanches d’une façon obscène, agitant ses fesses de droite à gauche qui se balancent à quelques centimètres de mes yeux attisant mon désir d’explorer l’ouverture qui s’y cache. Soudain elle s’installe sur le canapé, cuisses largement écartées. – Viens, mon chéri ! murmure-t-elle d’une voix alanguie... Viens me ...
«12...456...»