La culotte de Rose 5
Datte: 04/01/2019,
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Dans la zone rouge,
Benoît est un coach sportif, ce n’est pas un poète, cela s’entend: - Suce. Lèche d’abord, tout autour, comme un cornet de glace. .. Hum ! Tu t’y connais. Dire que tu reportais sans cesse au lendemain cet événement délicieux. La panne de ton ordinateur est bien tombée. Il était temps. Enfin, nous allons connaître des heures heureuses. Rose sourit, tient entre ses doigts une verge raide, un beau morceau de chair. Ce n’est pas le monstre de Rodolphe, mais à distance l’engin paraît de taille respectable. Mains sur les hanches, Benoît, si c’est lui, mais pourquoi en douter, propulse son ventre vers l’avant : - C’est fameux. Maintenant en bouche, ouvre tes mâchoires et réjouis ton palais. Eh ! Ne mords pas, tes dents raclent ma peau et me font mal. Ouvre plus grand. Ah ! Ma pauvre. Tu n’es pas habituée aux modèles normaux. Avec la petite de ton mari, oui, tu manques d’expérience quand on entre dans le dur. Sache donc utiliser les dons de tes amis. Une fois encore, sois persuadée de mon désir de participer à ton épanouissement sexuel. C’est un droit pour chaque femme de goûter aux joies vraies et complètes de l‘amour. Tu dois pouvoir jouir pleinement des ressources de ton corps. Rose par précaution ferme son poing autour de la base de la longue tige gorgée de sang. L’homme abat une main dans les cheveux longs, tire à lui la tête, s’enfonce jusqu’au poing. - Voilà, c’est déjà mieux, tu apprends vite. Oh ! Tu n’as plus peur, tu me connais, lâche ma queue et avale tout. Il n’y a ...
... aucun risque de maternité comme ça. Putain, que tu es bonne Rose fait un bond en arrière, s’arrache à la prise, toussote : - Tu as beau dire, je n’ai pas l’habitude de tes dimensions; celle de Paul entre facilement, elle est minuscule comparée à la tienne. Laisse-moi le temps de m’habituer à ton gourdin. - Reprends sans crainte, ma bite est normale. Gratte-moi les couilles en même temps. Rose s’applique. Benoît, maintient à deux mains le crâne et pousse, pousse, pousse Il ne reste qu’un ou deux centimètres hors des lèvres aplaties sur le tube épais. Le recul permet à Rose de cracher un trop plein de salive. Cette fois je ne m’en remettrai pas. « Mignon, petit, minuscule, » c’est la descente vers le nul, l’inexistant ou l‘introuvable invisible, le néant. Le vocabulaire de Rose à lui seul est une justification de l’adultère en cours. Ils ont dépassé l’intention, les choses sont assez engagées pour que je me considère comme cocu. Humiliation suprême Rose a dénigré les dimensions de mon sexe. Qui en dehors de Benoît est au courant de mon handicap. D’ailleurs la situation évolue. Benoît, c’est lui, mes yeux s’habituent à la demi obscurité, Benoît donc pousse Rose sur une botte de foin, se place à son tour genoux au sol entre les cuisses de ma femme. Sa tête se fraie un chemin sous et entre les fesses et les cuisses, se pose sur le sexe de son amante, et bouge comme pour dire oui, monte et descend, le nez collé dans la fourche écartée. Rose se met à feuler. Une respiration, retenue ...