La culotte de Rose 5
Datte: 04/01/2019,
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Dans la zone rouge,
... s’avance dans la fourche des cuisses, vise la vulve mouillée, s’installe puis s’enfonce brutalement dans le con. Un grand « Ah ! » salue la pénétration. Rose marque chaque entrée d’un profond soupir. J’enrage. La salope, salope, salope! « Elle m’aime ! » Elle le répète à tout vent. Menteuse, adultère, prête à partir avec Benoît ou avec le prochain amant présenté par Claudine. Salope, cette fois il n’y aura pas de pardon. Le spectacle me dégoûte. Je dérobe la culotte délaissée sur la clenche. Quand elle constatera sa disparition, Rose comprendra que quelqu un a observé son accouplement, a épié ses paroles, leur conversation, leurs projets peut-être. Elle se rongera les sangs. Je m’arrête au salon, je vide les poches de Benoît. Son portefeuille épais contient ses pièces d’identité, ses cartes de sécurité sociale et de complémentaire, sa carte bancaire, une carte de fidélité de grande surface. Une enveloppe est pleine de billets de banque et une note du trésorier de l’association indique où il doit déposer la somme. Ce sale type me vole ma femme. Je lui vole le contenu de sa veste. Ce sera le début d’emmerdes, de mensonges, de combines dans les comptes. Je balance des dossiers à travers la pièce et vise le dessous des meubles. J’ouvre la fenêtre qui donne sur la rue et je place une chaise dessous. Je jette la veste du séducteur dans le panier de linge sale sur une serviette et sur mes slips, je pisse dessus. Autrement dit, je marque mon territoire. Qu’il aille expliquer à sa ...
... famille l’origine de l’odeur d’urine de sa belle veste. Je quitte la maison avec deux de leurs classeurs, étonnamment légers : des prétextes pour faire croire que les deux complices triment. Les quelques documents finiront dans une poubelle. Leur manqueront-ils? Je m’en fous. Salauds ! Les amants sont encore accouplés. Si elle continue à geindre et à crier son bonheur, Rose ameutera les voisins, je me sauve pour échapper aux curieux. J’entre dans mon bureau au moment où le téléphone sonne. - Allo, ici Paul. Ah! C’est toi ma poule ? Si Benoît en bon coq l’appelle « ma poule », en qualité de mari, même cocu, je m’autorise à l’imiter. Eh ! Bien, elle s’est habituée à cette appellation, ne réagit pas. Elle ne fait plus la différence entre lui et moi en dehors du contact des sexes si différents. - C’est toi, mon amour. Tu es au travail ? Tu ne serais pas passé à la maison, cet après-midi? - Non. Pourquoi ? Tu y es, tu m’aurais vu! -Je montrais ton beau jardin à Benoît, j’avais oublié de fermer la fenêtre côté rue. On nous a cambriolés. Elle montrait mon beau jardin ! J’en rirais !Elle montrait son con en réalité. En guise de pelouse Benoît se prélassait sur sa toison pubienne et il usait de son plantoir pour suppléer au manque d’importance de ma toute petite bite. Tu penses. Et Benoît retournait ma terre peut-être ? Il l’ensemençait aussi sans doute ! Il piochait et arrosait mes plants ! Son plantoir faisait mon travail ! Rose en était toute rouge et humide. J’enrage mais je me ...