MERCREDI APRÈS-MIDI
Datte: 11/08/2017,
Catégories:
Lesbienne
Il est une heure de l’après-midi quand Caroline me rejoint dans la chambre que nous partageons depuis six mois. Sans un mot, elle déboutonne son jean, qu’elle tire à ses chevilles, dévoilant une culotte fuchsia qui prend le même chemin. Le tout atterrit sur le sol. Elle se glisse souplement sur le lit, dispose ses jambes à l’équerre. Provocatrice, comme à l’accoutumée, elle me jette :— Allez, salope, viens entre mes jambes, je sais que tu n’attends que ça.Et c’est vrai. C’est notre rituel de début du mercredi après-midi, et ça me manquerait, si cette tranche temporaire démarrait sans ça.Je glisse sur le lit. C’est amusant comme on peut se créer des rituels, quand on est en terre inconnue. C’est ce que nous avons fait, nous tous quand nous sommes arrivés à la Chambre des Métiers, pour suivre nos formations. Une manière de survivre.Caroline est une grande rousse. Au cas où on ne serait pas convaincu par l’authenticité de sa magnifique crinière, elle a tracé au rasoir un triangle lorsqu’elle a rasé ses poils pubiens, dont le flamboiement est en harmonie avec ses cheveux. Triangle qui surplombe ses lèvres. Lèvres sur lesquelles je plonge de la bouche et de la langue. Un instant, son sexe est clos et sec, le moment suivant, il commence à s’ouvrir, et ses sécrétions coulent dans mon palais. Je tourne, agaçant ses lèvres qui gonflent, dardant la pointe de ma langue à l’intérieur d’elle, remontant sur le capuchon qui recouvre encore le clitoris. J’ai toujours mis un point d’honneur ...
... à faire jouir mes partenaires, à leur donner le meilleur, et, pas plus avec Caroline qu’avec d’autres, je ne veux démériter.Amélia, une petite brune aux formes voluptueuses passe. On ne s’interrompt pas pour autant. Ici, toutes les filles, c’est une tradition, se mettent en couple dès leur arrivée. Elles sont plus fortes ainsi, et elles surmontent aussi l’isolement de l’internat. La fille a une capacité naturelle a basculer vers des partenaires du même sexe que n’a pas l’homme.— Alors les filles, vous sortez cet après-midi ?— Comme tous les mercredis, je pense, répond Caroline.J’ai la bouche pleine de ses jus, accrochée à ses lèvres comme une moule à un rocher, ce n’est pas moi qui ait répondu.— Nous on va faire du volley au centre ville. Moi, Lisa et Édith.— Bon après-midi.— J’ai quand même le temps de goûter à ta chatte, fait Amélia, dont le regard brille d’envie.Elle vient se glisser sur le lit à côté de moi. Ça change la donne, mais c’est très agréable. Elle penche le visage sur le bas-ventre de Caroline. Ses cheveux viennent caresser ma joue. On se partage le terrain, trouvant facilement une harmonie, elle sur le clitoris de Caro, à présent sorti, moi sur ses lèvres, ou moi sur la muqueuse anale de ma partenaire habituelle, elle est très sensible de ce côté-là, pendant qu’Andréa lui enfonce la langue entre les lèvres.Là où je me dis que les choses sont définitivement meilleures c’est quand Andréa vient glisser son bras dans mon pantalon, que j’ai ouvert, s’insinuant sous ...