1. En route vers l'Allemagne


    Datte: 05/01/2019, Catégories: fh, fhhh, extracon, cocus, inconnu, voyage, Partouze / Groupe

    ... ! Autant enlever mon top, pendant qu’on y est, non ?— Bonne idée ! Aïe aïe aïe, qu’est-ce que je n’ai pas dit ! Maintenant, ils braillent tous en cœur : — Le top ! Le top ! Même mon crétin de mari l’a écrit au moins dix fois sur l’écran ! Franchement, pas un pour racheter l’autre ! Et puis, merde ! Au point où j’en suis ! Me redressant, j’ôte prestement mon top que je balance à la figure d’Heinrich sous les rires des autres. Puis, poitrine nue, bien plantée sur mes jambes, mettant mes mains sur les hanches, je demande narquoise : — Alors, comme ça, messieurs, c’est mieux ? Un vaste murmure admiratif remplit la pièce. Ce sont quatre paires d’yeux qui me dévorent à présent, cinq avec ceux de mon chouchou à l’écran ! — Nettement mieux ! Tu as vraiment de beaux seins ! Il aurait été dommage de nous les cacher plus longtemps ! (Heinrich)— Oh oui, ça serait dommage de les cacher ! (Gert)— Je suis d’accord ! (Stephan)— Moi aussi ! (Andreas) Je soupire : — Ça, je n’en doutais point !— Euh… Ariane…— Oui, Gert ?— Je peux… toucher ? Ah, l’ouverture est venue de celui dont je me méfiais le moins ! Tous les yeux sont braqués à nouveau sur moi, même ceux, virtuels, de mon mari. Je me tâte, je me demande s’il faut se laisser entraîner sur cette dangereuse pente. J’adresse un long regard à la webcam. La réponse arrive par écrit :Si tu en as envie, fais-le. C’est peut-être ta seule occasion. Le pire, c’est ce qu’un coin de ma tête pense aussi… Alors je m’entends répondre : — If you can !(en ...
    ... VO)— I do it !(toujours en VO) C’est une main délicate qui se pose sur mon sein, le frôlant, puis s’enhardissant de plus en plus, elle taquine un téton réceptif sous les yeux attentifs des autres hommes qui ne manquent pas de commenter ce que l’un d’entre eux ose me faire. Durant ce temps, indifférent aux autres, Gert caresse, câline, soupèse, avec une certaine tendresse, puis il se penche sur moi, vers ma poitrine, lèvres en avant, et demande : — Je peux, là aussi ?— If you wish… (en VO) Assurément, il peut, posant ses lèvres sur mon téton érigé. Ça m’électrise ! L’instant d’après, les autres hommes veulent aussi leur part de ma petite personne ! Je suis tellement surprise par cet assaut massif que je n’ai pas le temps de protester. Ce sont à présent quatre hommes voraces qui me palpent, me caressent, m’embrassent les seins, le dos, le ventre, les joues ! Reprenant mes esprits, je repousse gentiment tout ce petit monde : — Stop, stop, stop ! Laissez-moi respirer ! Ils s’écartent, me laissant souffler. Je récupère peu à peu, sous le regard brûlant de tous ces hommes. Je constate que certaines prunelles ne sont pas braquées sur ma poitrine, mais plus bas. C’est en baissant la tête que je constate que ma jupe est descendue à l’orée de mon pubis. Alors que j’esquisse un geste pour la remonter, Heinrich intervient : — Et si tu nous laissais t’admirer… complètement ?— Complètement ? Tu veux dire : complètement nue ?— C’est toi qui viens de le proposer…— Ben voyons… Je tergiverse, ...
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