L'amour d'un père (4)
Datte: 05/01/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... chéries ! Mais où avez-vous appris un truc pareil ? Vous êtes fantastiques ! — Tu vas bientôt jouir ? — Oh oui, je ne vais pas tarder si vous continuez comme ça. — Jouis pour nous, papa, enchérit Nancy. On veut te faire éjaculer. Elles s’activent de plus en plus vite. C’est divinement bon. Elles me lubrifient avec leurs mouilles ; ça glisse tous seul. J’ai besoin de jouir ; je n’en peux plus. Je pousse un râle lorsque je sens enfin mon jus monter le long de ma tige. Je vais éjaculer ! Pour mes filles ! Pour mes adorables petits anges ! J’explose comme une fontaine et les arrose de foutre. Elles s’exclament d’admiration devant la force de mes jets. J’expulse une quantité incroyable de sperme comme si j’extirpais un poison de mon corps qui me faisait mal. Il faut que je m’en débarrasse, il faut que je me vide. Mes giclées retombent équitablement sur leurs deux ventres. Mes filles continue leurs mouvements et de me traire jusqu’à la dernière goutte. Elles ne s’arrêtent lorsqu’elles se sont assurées que plus rien ne sort de ma queue. Je suis dans les vapes, épuisées physiquement et mentalement par cette baise torride. Lorsque j’arrive à me relever, nous nous enlaçons et nous nous embrassons. Heureux d’avoir partagé ce moment si intime ensemble. Nous sommes amoureux, et rien ne pourra jamais nous séparer. Notre vie de tous les jours a bien changé depuis ce jour-là. Nous avons passé un nouveau stade dans la dépravation. Avant, pour baiser, je devais me cacher avec une de mes ...
... filles pour que l’autre ne soit pas gênée en nous surprenant, mais aujourd’hui, nous baisons n’importe où sans plus aucune pudeur. Je n’avais pas connu une telle liberté depuis leurs naissances, hormis qu’ici, c’est encore différent, puisque j’ai deux femmes rien qu’à moi. Cela conduit parfois à des situations assez étranges. Un jour, j’encule Angela par devant sur la table de la salle à manger. Elle y est allongée sur le dos et j’ai pris ses jambes sur mes épaules. Sa sœur débarque, se contente d’un « Salut papa, salut frangine », et s’en va de la façon la plus naturelle du monde. Le pire, c’est que je m’y habitue moi-même. Je ne me suis même pas arrêté ; je lui ai juste répondu bonjour tout en donnant mes coups de reins. Ma cadette, elle, était trop enivrée par le plaisir pour réagir à sa présence. Nous avons continué après qu’elle soit partie. J’ai fais jouir mon chaton, puis j’ai éjaculé dans son cul. Ce genre de scène insolite arrive désormais très souvent. L’autre fois, je prends Nancy en levrette dans sa chambre, puis Angela arrive dans la pièce. Elle nous regarde un moment, à la fois honteuse et excitée. Elle s’installe sur une chaise sans rien dire pendant que nous poursuivons notre ébat. Au bout de quelques minutes, elle n’en peut plus et se met à se masturber devant nous. J’ai de la peine pour mon bébé : elle a manifestement très envie de nous rejoindre, mais elle n’ose pas nous déranger. Je finis par demander à Nancy : — Cela te dérange si je m’occupe un peu de ta ...