1. L'amour d'un père (4)


    Datte: 05/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et je bande si fort que j’ai une terrible envie de m’y enfoncer et de la baiser. Je finis par craquer quand elle me demande « Papa, j’ai envie de jouir, tu ne veux pas m’aider ? ». Je laisse tout en plan, et je la saute sur la table de la cuisine comme une trainée. Je lui bouffe les seins et lui suce la langue. Quand je l’encule par derrière, son torse pressé contre le meuble, c’est le moment où Angela décide de débarquer. — Papa ! Et le repas ?! s’indigne-t-elle. J’ai faim, moi ! — Désolé ma chérie. Je finis d’abord avec ta sœur, puis je m’en occupe. Tu veux, bien ? — D’accord, mais seulement si c’est moi qui ait le sperme ! Je continue ainsi de sodomiser Nancy, et quand je me sens venir, j’avertis Angela qui se met à genoux et me finit dans sa bouche. Elle m’avale directement à la source. Sa sœur se plaint qu’elle ne lui a rien laissé, mais je lui rappelle que c’était le marché. Elle fait un peu la gueule, mais elle s’en remettra. En général, je suis un bon cuisinier, mais j’avoue que le diner a été un peu cramé ce jour-là. Nous dormons la plupart du temps tout ensemble dans ma chambre. J’adore sentir mes filles blotties contre moi avant de sombrer dans le sommeil. Cela me fait sentir si bien. Je me réveille parfois avec une belle surprise, comme lorsqu’elles me font une pipe. Dans certains cas, elles me font jouir dans la bouche et se partage mon sperme, dans d’autres, ce ne sont que des préliminaires pour une baise du matin. J’aime aussi ouvrir les yeux pour les ...
    ... découvrir en train de se caresser et se brouter le minou. Elles sont si mignonnes quand elles font l’amour. C’est si agréable à regarder. Je me contente d’observer en me masturbant, et lorsqu’elles ont terminé, elles viennent m’aider à éjaculer à mon tour. Je suis toujours étonné de voir à quel point elles sont affamées de sperme ; elles sont vraiment comme leur mère. Je les surprends un jour à faire l’amour toutes les deux dans la chambre d’Angela. Elles sont en ciseau, comme la fois où elles m’ont fait éjaculer avec leurs chattes ; sauf qu’elles ne sont pas entravées par ma bite cette fois. Je les trouve étrangement un peu trop éloignées l’une de l’autre pour se frotter le minou, puis je comprends. Je vois que l’argent de poche que je leur donne est bien dépensé : elles ont acheté un double gode ! Les petites salopes ! Elles ont chacun un bout enfoncée en elle, et elles remuent pour se faire du bien. Je n’ai plus besoin de me cacher comme autrefois ; j’entre dans la pièce, et me masturbe devant elle en les regardant. Cela les excite tout autant que moi. — Tu aimes ce que tu vois, papa ? me fait Nancy. — Hmm, oui. Je ne savais pas que vous aviez ce genre de jouet. — On en a d’autres. Je te les montreras si tu veux. — Avec plaisir. Elle prend l’engin d’une main, et le fait coulisser plus fermement dans leurs chattes. Sa taille est impressionnante. Il est encore plus gros que moi, et pourtant, je suis bien monté. J’ai une pensée pour ma petite Angela, de nature si étroite, qui doit ...
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