1. Un chien qui s'ignore 11


    Datte: 05/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Anal

    Cette tortionnaire de Nolwenn avait disparu, me laissant seul, remisé dans ma cage, avec encore l’odeur si caractéristique du dogue en rut qui avait imprégné la peau de mon dos lacéré par ses griffes.Cette odeur me dégoutait et rappelait ce que ce chien m’avait fait subir. Les premières heures m’avaient laissées dans un état d’hébétude et de honte. Puis petit à petit, je repensais au plaisir inavouable et incontrôlable que la situation m’avait procuré.La situation ?Ou était ce plutôt la promiscuité avec cette Nolwenn en train de se faire défoncer par son compagnon ?Ou pire ? Le chien avait fait de moi sa chienne comme me l’avait déclaré Nolwenn ? Son odeur prégnante et son sperme, qui je le sentais, s’écoulait lentement de mon anus dilaté de son traitement bestial m’empêchaient de sortir de mon esprit cette scène et cette … jouissance.Nolwenn ne m’avais pas remis ma cage de chasteté. Mon sexe maintenant libéré gonflait rapidement et je me branlais frénétiquement, maladroitement coincé dans cette cage. En quelques secondes j’éjaculais violemment en râlant de plaisir.Mon sexe en redemandait privé de mes caresses depuis si longtemps. Et puis la scène tournait en boucle dans ma tête. Je me branlais je ne combien de fois, jusqu’à l’épuisement ou le dégout de moi-même. Mon odeur de sueur et de mon sperme se mélangeaient avec l’odeur du chien…J’étais dans le noir complet depuis plusieurs jours me semblait t-il. La maison semblait vide, hors mit le bruit de ma chaine lorsque je ...
    ... changeais difficilement de position pas un son ne me parvenait. Ma respiration et mon estomac affamé, seuls résonnaient dans mon petit espace confiné. Heureusement ce confinement me permettait de ne trop avoir froid, mais l’humidité de ma respiration rendait ma couverture moite et des gouttes de condensation tombaient des barreaux au dessus de moi.Puis la porte s’ouvrit, la lumière m’aveugla, des bruits de talons. Je me rétractais au fond de mon abri quand la voie de Mme Laurence retentit à mes oreilles.J’en étais en joie.Je sortis immédiatement de ma cage et ne réfléchis pas : je léchais ses escarpins vertigineux et ses chevilles magnifiques, comme prosterné à 4 pattes aux pieds de ma maitresse.‘Eh bien et eh bien en voilà de l’empressement ! Quel bon toutou tu es devenu ! Nolwenn m’a dit qu’elle s’est bien occupé de toi!’‘ Hum je vois que tu es très content de me voir ! ’D’un bout de son escarpin, il tapota le bout de mon sexe raide. Je bandais comme un âne devant ma maitresse retrouvée. Le bout de sa chaussure me donna envie subite de branler mon sexe, mais je savais que je ne devais pas ! Je tournais autour d’elle pour continuer à lécher ses chaussures divines qui jouaient avec mon sexe douloureux de plaisir.‘Quelle odeur épouvantable ! Comment fais tu pour puer comme ça ! Tu as tout pris du chien ! C’est une infection cette odeur de bête !’Je ne l’écoutais plus : si elle était revenue, c’est qu’elle allait s’occuper de moi, peut être même me promener dehors ou me ramener chez ...
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