1. Un chien qui s'ignore 11


    Datte: 05/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Anal

    ... moi. Je léchais ses chevilles gainées de nylon, ses talons.Elle fini par récupérer ma laisse qui trainait au sol. Elle me tira à ma place habituelle et me fixa à l’anneau mural‘Tu n’as pas pu t’empêcher de te branler comme le porc que tu es ! Tu sens le vieux sperme à plein nez ! Même un chien abandonné est moins répugnant que toi !’Ma toilette fut violente, mais agréable. Le jet d’eau enlevait toutes ces traces sur mon corps. Je me sentais presque revivre. Mme Laurence a quelques pas de moi, m’aspergeait scrupuleusement.‘Voilà, c’est beaucoup mieux ! Pendant que tu sèches, je te prépare tes nouvelles affaires ! C’est un grand jour pour toi !’Mme Laurence était toute excitée. Mon enthousiasme de l’avoir retrouvée ne m’empêcha pas de voir pointer une pointe d’angoisse grandissante. Quel était ce grand jour, ces affaires nouvelles ? Évidemment je ne rêvais que de sortir de cette pièce de brimades et d’enfermement, mais qu’est ce qui m’attendait dehors ?Une fois sec, Mme Laurence se mis assise sur mon dos, une jambe de chaque côté. Elle portait ce jour là un de ses élégants tailleurs noir à rayures : pantalon à pince et veste cintrée sur sa poitrine fantasmée, une paire d’escarpins rouge très haute assortie à une ceinture. Vue ma position je ne pouvais voir que ses escarpins de chaque côté de mes épaules et la position me rappela aussitôt le début de ma déchéance dans le bureau avec sa nièce. Je bandais ferme, sous ce postérieur tant convoité qui me réchauffait le dos.Elle ...
    ... ouvrit la fermeture de mon collier –minerve que je portais depuis si longtemps. Je sentis mon cou fragile sans son carcan. Je sentis un autre collier le remplacer, moins haut. Celui-ci une fois ajusté à mon cou, venait à la base de mon cou, sous la pomme d’Adam. Par un réglage avec une clef, elle l’avait resserré à la limite de l’étranglement.Elle se retourna sur mon dos et bientôt je sentis une main ferme tirer mes couilles en arrière. Je bandais toujours ferme et ce ne fut pas désagréable, jusqu’au moment où un métal froid et lourd vint se resserrer au dessus. Mme Laurence resserrait l’étreinte du dispositif. Mes couilles était de plus en plus à l’étroit. Lorsque sa main lâcha enfin mes couilles, j’eus un soubresaut de douleur. Mes couilles firent le balancier jusqu’à mon ventre et étaient tiraillées, lestées par ce poids.Mme Laurence riait et après m’avoir donné une bonne claque sur une fesse. Elle se leva et joua d’un de ses escarpins à se faire balancer mes couilles lestées‘Tu as vraiment tout du chien décidément. Je ne t’ai mis que 250 g pour le moment, mais tu pourras porter les 750 bientôt. Et tu auras une belle paire de couilles qui se balanceront au moindre courant d’air !!’.Mon espoir d’une amélioration de mon sort et déjà réduit à néant… Par ses deux simples artifices, Mme Laurence me rappelait ma situation : son chien domestique.Le collier m’étouffait à moitié et me faisait monter le sang à la tête, mes couilles emprisonnées étaient dangereusement exposées.Mais ce ...