Présentation et autres oeillades - Histoires de Sexe

Présentation et autres oeillades

... donc distinguer la forme de sa fente est des plus excitants pour la personne ayant remarqué l’effet que le vêtement un peu trop serré provoque chez elle. Pourtant, elle n’est pas du tout du genre exhibitionniste, bien au contraire. Stéphanie est une femme discrète. Elle est très gênée à l’idée qu’un homme puisse laisser trop longtemps son regard se poser sur ses formes généreuses. Surtout quand ce regard la détaille avec envie et gourmandise et qu’elle constate la raison de ces œillades insistantes. Mais la plupart du temps, tous ces regards masculins qui se posent sur elle, Stéphanie ne les voit même pas. Elle n’y prête pas attention, occupée qu’elle est par sa vie de mère de famille dynamique et qui plus est travaillant. Je crois qu’elle n’a pas conscience du feu, du désir ardent et des songes qu’elle peut allumer chez un homme. Pas conscience du désir que ses formes, son corps peuvent faire naître dans l’esprit et le pantalon d’un homme. C’est un paradoxe chez Stéphanie. Oui, elle est entière jusque dans sa pudeur car si elle n’apprécie pas les regards insistants sur sa personne, elle se montre aussi farouche en ne faisant rien pour les éviter. C’est pourquoi, je peux affirmer qu’elle est fière de ses formes, sans en rajouter. Se plaisant très bien dans son rôle d’épouse, de mère de famille, d’institutrice. Une de ces femmes qui semblent sans histoires possibles mais qui peuvent éveiller les désirs les plus fous, les envies les plus soudaines… Cette année, toute la petite ...

... famille part en Dordogne pour les vacances d’été. Quinze jours en juillet qui doivent permettre dépaysement et repos pour chacun. Le départ se fait très tôt un samedi matin, afin d’éviter les bouchons parisiens. Le break rempli à ras bord, l’expédition routière se passe sans incidents malgré les innombrables embouteillages et disputes des enfants. Ils ont loué un gîte dans une ferme équestre aux Eyzies de Tayac près de Sarlat. Et c’est vers dix-sept heures que toute la famille débarque sur le lieu de sa location. Ils sont accueillis par Isabelle et Gunther, les propriétaires de la ferme. Pendant que son mari et les enfants vident la voiture de son contenu de bagages, jouets et nourriture pour les vacances, Stéphanie fait le tour de la location avec leurs propriétaires. Gunther est allemand, il a rencontré Isabelle pendant un séjour dans la région et depuis ne l’a plus quittée. C’est un grand gaillard blond d’une quarantaine d’années. Isabelle est menue et d’allure plutôt coquette. Ils se sont plus tout de suite, mariés très vite et ont acheté cette ferme équestre. Depuis vingt ans, ils vivent de ses activités autour du cheval et des balades en forêt. Pendant la visite des lieux, Gunther a les yeux rivés sur la poitrine de Stéphanie. Celle-ci tranche avec la petitesse des seins de sa femme. Le contraste évoque en lui bien des pensées qui feraient rougir Stéphanie à la moindre allusion. Il se dit que les locataires pour la quinzaine sont très intéressants, enfin surtout cette ...