Présentation et autres oeillades - Histoires de Sexe

Présentation et autres oeillades

... femme aux formes très épanouies. Stéphanie porte un haut top blanc à fines bretelles. Il laisse facilement deviner son soutien-gorge blanc en dentelle à celui qui y regarde de plus près. Et Gunther ne s’en prive pas. On peut en remarquer les dessins qui ornent le morceau de dentelle à travers le tissu du top. Il imagine sous cette forme circulaire et rigide toute la rondeur et la lourdeur d’un sein. Ah ! depuis combien de temps a-t-il soupesé une chair lourde et qui s’offre pleinement à la caresse d’une main ! Gunther est impressionné par cette grosse poitrine qui se déplace devant lui depuis quelques minutes. Il en est obnubilé, imagine le mouvement ondulant de cette poitrine qui se tend ou retombe au moindre mouvement, lui qui doit se contenter de ces vagues et tristes protubérances à la pointe de mornes mamelons. La poitrine de Stéphanie évoque le beurre et le lait chaud, celle d’Isabelle la nervosité d’une escalope. Toute son attention est portée sur celle-là, et il acquiesce rapidement au descriptif locatif que tient sa femme à Stéphanie. Dès qu’il a vu les gros seins de Stéphanie, il a tout de suite eu envie de les toucher, de les caresser, de les presser dans ses grosses mains. Cet effet-là, beaucoup d’hommes le ressentent en regardant Stéphanie. Nombreux sont ceux qui ne résistent pas à la vue d’une paire de gros seins. Et comme Stéphanie ne fait rien pour les cacher, les idées les plus folles vous viennent très vite à l’esprit. Le trouble de Gunther s’accentue ...

... quand Stéphanie s’apprête à remplir le chèque de paiement de la location. Elle se penche pour rédiger l’imprimé bancaire et Gunther n’en perd pas une miette. Mais lui n’est pas intéressé par l’écriture, il lorgne dans le décolleté largement ouvert de Stéphanie. Il s’évertue – mais le mot cache à peine son jeu – à prolonger la ligne courbe qui lui sourit par l’entrebâillement du top, que seule l’armature du soutien-gorge contient à grand-peine, et qui semble lui dire «je t’en prie, Gunther, sors-moi de là et je serai à toi ! ». Isabelle ne remarque pas le petit jeu de son mari germanique. Il est placé juste en face de Stéphanie et peut voir la fente provoquée par ses deux gros seins serrés l’un contre l’autre. Le haut de la poitrine de Stéphanie est déjà bronzé, fruit du travail des récréations successives de mai et juin à l’école maternelle et des tenues qu’elle portait déjà. Le regard de Gunther descend un peu plus bas, il peut voir la peau blanche de ses seins. Leur rondeur parfaite et la taille de ceux-ci excitent beaucoup Gunther, et son sexe ne tarde pas à durcir dans son pantalon à la vue de ce spectacle. C’est comme une invitation que lui propose la mère de famille. Stéphanie penchée ainsi, Gunther peut voir le galbe de ses seins, son soutien-gorge, tendu par la position de ceux-ci et par le poids de ses mamelles, laisse apparaître tout le haut de sa poitrine. Et là, au milieu de cette avalanche de chair qui semble dévaler de son décolleté pour arriver dans ses mains, la ...