1. Un mariage très touchant


    Datte: 06/01/2019, Catégories: fh, 2couples, couplus, cocus, inconnu, fête, chantage, contrainte, noculotte, intermast, pénétratio, fsodo, hdanus, hfisté, échange, entrecoup, fplusag, hplusag,

    ... mieux pour l’ignorer et, comme Audrey, tentais de me mêler le plus innocemment possible aux conversations qui nous entouraient. Les minutes passaient, les plats avançaient avec une lenteur désespérante. J’essayais périodiquement d’intimider ma voisine pour qu’elle me relâche, mais elle ne me répondait même plus et détournait la conversation sur une plaisanterie sans rapport. Je me demande aujourd’hui si je n’aurais pas pu tout simplement lui tordre le poignet pour qu’elle me lâche, tout en restant discret, mais en tout cas, l’idée m’apparaissait à ce moment comme beaucoup trop risquée. Ou peut-être n’avais-je pas vraiment envie que cette situation cesse… Audrey semblait avoir beaucoup plus de mal à se contenir : je la voyais rougir régulièrement, et des gouttes de sueur coulaient sur son front et ses joues. Profitant d’un creux de la conversation, je me penchai à nouveau vers elle pour discuter. — Ça va, chérie, tu tiens le coup ?— Ça va, mais c’est dur… J’ai serré mes cuisses au maximum, mais il fait tout ce qu’il peut pour me titiller… C’est horrible… Tu sais, je crois que… je mouille, ajouta-t-elle dans un souffle. Je ne peux pas m’en empêcher. Audrey semblait au bord des larmes et j’hésitais quelques instants à me lever pour aller simplement boxer son odieux voisin. Mais l’idée de sauter par dessus la table avec mon sexe au garde à vous, au milieu de tous les convives, me refroidit aussitôt. À moins que ce ne soit autre chose… — Courage, chérie… ce n’est pas de ta ...
    ... faute, dis-je à la place. Moi aussi, cette salope me titille… je suis très dur, je n’arrive pas à me calmer, j’ai tout essayé…— Ces salauds… on va leur faire payer ça, je te le jure… J’en parlerai à Évelyne après, je ne sais pas d’où elle les connaît réellement, mais ils paieront… Et le repas continua de s’éterniser… Je commençais à ressentir les effets de la masturbation prolongée à laquelle j’étais soumis depuis bientôt près d’une demi-heure. Je sentais mon sexe devenir gluant de sécrétions dans les mains de ma voisine, mes bourses commençaient à me faire mal, et un impérieux besoin d’éjaculer se répandait peu à peu dans mon bas-ventre. Mais ce qui me troublait par-dessus tout était que je commençais à éprouver un certain plaisir de ces caresses prolongées. Des spasmes agréables me parcouraient par intermittence, et je surprenais d’étranges pensées traverser mon esprit. En particulier, je ne pouvais m’empêcher de trouver mon Audrey, rouge et haletante qu’elle était, particulièrement sexy, malgré les circonstances abominables dans lesquelles elle se trouvait. Du moins… j’étais persuadé qu’elles étaient abominables. Pauvre Audrey… je la voyais parfois trembler sous l’effet des caresses que son voisin devait lui procurer… Elle se mordait parfois la lèvre, et sa respiration était devenue irrégulière. J’imaginais que ce maudit Luis devait être beaucoup plus actif que ma voisine, qui, elle, prenait grand soin à m’interdire toute éjaculation libératrice. Près d’une heure s’était à ...
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