Un mariage très touchant
Datte: 06/01/2019,
Catégories:
fh,
2couples,
couplus,
cocus,
inconnu,
fête,
chantage,
contrainte,
noculotte,
intermast,
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
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échange,
entrecoup,
fplusag,
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... présent écoulée depuis le début de cet infernal manège. Je ne me sentais plus dans un état normal, mes tempes bourdonnaient, ma bouche était sèche, et toutes sortes de sensations se succédaient dans mon corps. Inutile de préciser que je ne prêtais plus aucune attention au repas, dont je n’attendais plus que la fin, sans d’ailleurs plus trop savoir pourquoi, et ne participais qu’au minimum aux conversations environnantes. Lors d’un nouveau creux dans la conversation, Audrey et moi nous sommes de nouveau penchés l’un vers l’autre pour discuter discrètement. — C’est horrible, dit tout de suite Audrey. Il continue sans arrêt, il m’écrase le bouton, je… je coule comme une fontaine, je ne peux pas m’en empêcher…— Courage ma chérie… moi aussi je suis trop dur, j’ai mal…— Non, m’interrompit Audrey, c’est pire… Il a… il a mis un doigt… Je n’ai pas pu m’empêcher de m’ouvrir et là il est entré… C’est affreux, je n’en peux plus… Je fus honteux de réaliser que les mots d’Audrey ne m’horrifiaient plus… Ils m’excitaient presque. J’avais l’impression de voir les choses à travers un prisme libidineux, imposé par les caresses de ma voisine. Je m’étais même surpris à jeter des coups d’œil discrets au corsage assez échancré de la jeune femme à ma gauche, qui pouvait facilement avoir dix ans de moins que moi. Il fallait que cette situation finisse, d’une façon ou d’une autre. Quelques instants plus tard, Audrey ne put retenir un léger gémissement, qu’elle transforma aussitôt en une quinte de ...
... toux. Mais cela avait attiré l’attention de nos autres voisins. — Eh bien, Audrey, vous n’allez pas bien, demanda son voisin de droite.— Si, si… je me suis… étouffée…— Mais vous êtes toute rouge ! Vous devriez aller prendre l’air…— Je… oui, vous avez raison, balbutia Audrey… Je devrais…— Pourquoi ne boiriez vous pas un peu d’eau ? J’étais stupéfait. La personne qui venait de parler n’était autre que le voisin de gauche d’Audrey, l’individu qui la martyrisait depuis une heure, et il était en train de lui verser à boire tout en essuyant calmement son autre main dans sa serviette… Il me fallut quelques secondes pour réaliser que ceci devait signifier la liberté d’Audrey. Celle-ci resta interdite quelques instants, puis soudain s’anima et se leva aussi vite qu’elle put, manquant de renverser son verre au passage. — Vous avez raison, a-t-elle balbutié, je vais… je vais faire un tour. Et Audrey s’est éloignée à pas rapides, d’une démarche un peu chancelante, en direction des toilettes. J’étais prêt à bondir pour la suivre, mais ma voisine, d’une pression ferme sur mon sexe, me rappela que j’étais toujours emprisonné et incapable de me lever de table sans provoquer un scandale. Je commençais à passer en revue mes options possibles, mais les évènements ne me laissèrent pas le temps de réfléchir. À peine l’attention s’était-elle détournée de notre coin de table que le dangereux voisin d’Audrey se leva à son tour, m’adressa un sourire affable, et s’éloigna rapidement dans la direction des ...