1. Y a-t-il une limite au plaisir ? (1)


    Datte: 06/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Thomas est un jeune médecin de 30 ans exerçant à Marseille. Sa formation de généraliste lui avait permis l’ouverture d’un cabinet qui fonctionnait plutôt bien. Il se réservait toujours du temps libre pour faire son sport et voir ses amis. Cette semaine avait été particulière avec l’aboutissement d’une spécialisation d’hypnothérapeute. Depuis plusieurs mois, il travaillait le sujet et avait validé le cursus. Il avait une grande curiosité du sujet et estimait que ce moyen lui permettrait de soulager des douleurs permanentes en diminuant l’aide médicamenteuse. Ce samedi soir il fêtait sa réussite chez Yohann et Karine, des amis qui avaient organisé une soirée de crémaillère. Au moins 50 invités discutaient dans le jardinet de la maison. La question de la soirée était de savoir si les futs de bières seraient épuisés avant le charbon du barbecue. La douce soirée d’été était agréable. Alors que Thomas se servait sa 4 ou 5ème bière, une jolie fille l’aborda : — Tu es Thomas ? Enchantée, je suis Annie, une amie de Karine. Elle lui tendit une main ferme qu’il prit en remplissant son verre de mousse. — Salut, je te sers un verre ? Elle pouffa et prit la place à la tireuse pour lui re-remplir — Karine m’a dit que tu étais médecin, pas trop dur ? — Non, non, j’adore mon métier et toi ? — Je suis psychothérapeute à Lyon depuis 2 ans La conversation se poursuivait et deux ou trois amis s’y greffèrent. Thomas dévorait des yeux son décolleté et admirait la légèreté de sa jupe. Le désir ...
    ... montait en lui pour ce petit bout de femme désirable. Son parfum était léger et fruité, il rêvait de le sentir directement dans le creux de son cou. Ses formes très finement dessinées, sa peau légèrement hâlée et ses fines lèvres faisaient chavirer son cœur. Il n’avait pas eu de relation depuis 3 mois et n’en recherchait pas particulièrement mais il aurait tout donné pour la prendre dans ses bras et l’embrasser. Le sujet dériva sur l’hypnose au bout de quelques minutes. Yohann demanda à Thomas si les émissions de la télé étaient crédibles — Je ne pense pas, répondit Thomas, l’hypnose est un état particulier mais de là à faire des choses incontrôlées ou humiliantes ça va trop loin. Je crois que le patient a toujours le contrôle — Je ne suis pas certaine, affirma Annie, je pratique beaucoup et je pense que le contrôle du sujet reste fragile car on peut orienter sa pensée. On ne peut pas faire quelque chose contre sa volonté mais si l’hypnotiseur modifie la volonté ; alors le sujet suit l’idée... C’est un équilibre fragile. Je crois, Thomas, que tu sous-estimes la possibilité de l’hypnose spectacle surtout dans un cadre où le sujet sait qu’une régie pose des barrières. — Tu veux dire que tu peux faire faire n’importe quoi à quelqu’un ? Je n’y crois pas un instant ! — Laisse-moi te montrer alors, je te fais faire ce que je veux ce soir sans aucune limite ! — N’importe quoi ! Thomas était particulièrement gêné de se retrouver au cœur de cette proposition surtout que la conversation ...
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