1. Y a-t-il une limite au plaisir ? (1)


    Datte: 06/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... la servir : une bière, mon pull, aller aider en cuisine, nettoyer un verre renversé, chanter une chanson ridicule, être un robot, etc... Alors que tout le monde partait, Annie s’adressa à Karine : — Puis-je reprendre la chambre ? Je ne vais pas le laisser ainsi ! — Tu devrais le ramener avec toi, on a tous besoin de quelqu’un pour son chez soi ! Plaisanta l’hôte. Annie amena Thomas à la chambre, elle était assez saoule et excitée par l’idée de Karine. — Je veux que tu te déshabilles et que tu couches sur le lit. Je veux que ton corps soit totalement paralysé sous ton cou, impossible d’activer le moindre muscle, tu es une statue, immobile quoiqu’il se passe Annie se rassied sur sa bouche et s’y frotta. Sa bouche entreprit une fellation sur le pénis tendu. — Donne-moi un orgasme, retrouve ce goût que tu aimes tant. Imprègne-toi de moi, ta maitresse, ta reine. Après ma jouissance tu pourras te libérer, tu auras l’orgasme le plus puissant de ta vie, un orgasme libérateur, un orgasme qui scellera mon pouvoir et ma victoire. Cet orgasme sera si puissant qu’il te fera revenir de ta transe, tu seras réveillé, conscient de tout ce qu’il s’est passé ce soir. Thomas et Annie s’activèrent dans ce 69 jouissif. En quelques minutes Annie eut un orgasme incroyable, relativement bruyant et long. Elle partit tellement qu’elle lâcha le pénis de Thomas qui jouit juste après sans aucun contact buccal sur le visage et les seins d’Annie dans un hurlement rauque de libération. Une fois les souffles ...
    ... retrouvés, Thomas souleva sa tête et inspira la chatte d’Annie comme un drogué prenant sa dernière dose. Elle se retira et se nettoya avec un mouchoir présent dans la chambre. — Alors, ai-je dépassé tes limites ? — Oui maitresse, tu les as détruites et j’ai adoré t’obéir, c’était incroyable... Je suis à toi. — Du calme Thomas, je crois qu’il est temps que tu rentres chez toi. Je me suis laissé emporter très loin... j’en suis désolée. — Ne sois pas désolée, tu avais raison et j’ai passé le meilleur moment de ma vie à tes pieds. — Rentre chez toi maintenant s’il te plait. Annie quitta la chambre, Karine, qui avait surement entendu les orgasmes, sourie tendrement et demanda coquinement à son amie si son esclave n’était pas trop triste de sa soirée. Annie esquiva et partit souffler dans le jardin presque vide. Personne ne l’aborda. Thomas descendit 5 minutes après et salua rapidement les hôtes avant de prendre son vélo et partir. Il avait passé sa semaine à éviter les contacts avec ses amis ; la semaine d’après il ne put qu’esquiver les questions. Chaque seconde l’odeur et le goût de la chatte d’Annie l’obsédaient. Il avait tellement de désir et de peur mêlés. Le dimanche de cette deuxième semaine il prit sa décision. Annie était chez elle au calme, devant la télé et son téléphone vibra, elle ouvrit le message et lu: vkbvggeq [[Salut, c’est Thomas, puis je venir à Lyon dès vendredi soir ? Je suis dévoré par toi. Je ne suis toujours pas sûr qu’il n’y ait pas de limite à l’hypnose, ...