1. Aline la voisine


    Datte: 06/01/2019, Catégories: f, h, fh, jeunes, frousses, voisins, grosseins,

    Tout d’abord, une petite présentation, pour ma première histoire ici. Je ne dévoilerai pas mon véritable prénom ici, mais on me surnomme Hägar (à prononcer hogar) en référence à un Viking dans une bande dessinée. Physiquement, je ne ressemble pas tellement à un viking, je suis assez petit, 1,69 m (no comment), et très large d’épaule, du fait de plusieurs années de rugby. J’ai vingt ans et je suis étudiant dans une grande ville de France. Cette histoire date de 2016. J’habitais alors le petit studio dans lequel je suis toujours aujourd’hui. C’est au premier étage d’un vieil immeuble et je partage le palier avec trois autres studios et il faut savoir que les murs sont très fins entre ces différents studios. Je n’avais pas la chance de croiser souvent mes voisins, même si je savais que le studio mitoyen au mien était habité par une demoiselle que j’avais pu croiser quelques fois, sans même échanger le moindre mot. Pour ce qui est des autres studios, je n’en savais rien. Je menais une vie tranquille, les cours, un film le soir, un peu de musique, quelques sorties de temps en temps. Ma vie sentimentale de cette époque ressemblait plutôt à une traversée du désert, accompagné seulement de quelques sites pour adultes… Tout commença un soir d’avril. À cette époque-là je travaillais beaucoup dans mes recherches et il m’arrivait de travailler jusqu’à deux, voire trois heures du matin. J’allais éteindre mon ordinateur quand des bruits étranges ont arrêté mon mouvement. Je ne ...
    ... distinguais pas grand-chose par-dessus ma musique, alors je l’éteignis. Silence. Puis un gémissement. Silence. Un autre, plus fort cette fois. La voix semblait assez aiguë, une fille. Je ne reconnaissais pas la voix, mais j’étais certain qu’il s’agissait de la voisine d’à côté. À ce stade, j’étais incapable de dire si elle était jolie ou non, mais je peux dire une chose, sa voix, elle, l’était. Je me surpris à m’approcher du mur, en glissant une main dans mon short. Ces gémissements de plaisir ajoutés au manque avaient suffi à m’exciter. L’oreille et le membre tendus, j’écoutais.Elle se branle juste à côté ! Je ne pouvais pas distinguer grand-chose, mais je me doutais qu’elle se faisait plaisir elle-même, pensant être suffisamment discrète à cette heure tardive. Les gémissements s’accentuèrent, puis plus rien. Spectacle terminé pour cette nuit. Mais ça m’avait suffi. Le lendemain soir, j’étais resté éveillé volontairement, en espérant un deuxième acte. Les gémissements me donnèrent raison. Les mêmes, saccadés, entrecoupés de soupirs. C’est là que je me rendis compte à quel point les murs étaient fins. Elle avait sûrement dû m’entendre de temps en temps, elle aussi… Avait-elle été aussi intriguée ? Aussi intéressée ? Les gémissements avaient duré plus longtemps et m’avaient servi de base à une nouvelle séance d’onanisme.C’était bien, pensai-je. Mais je désirai avidement mettre un visage sur cette voix, il fallait que je trouve un moyen… Pour une fois, la chance était de mon côté. Alors ...
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