1. Aline la voisine


    Datte: 06/01/2019, Catégories: f, h, fh, jeunes, frousses, voisins, grosseins,

    ... intenses, presque des cris, et moi, inconsciemment, je m’astiquais le membre, tout tendu et rougi par l’excitation. J’avais chaud. Je ne pouvais que les imaginer à côté, elle à quatre pattes, les fesses tendues, et lui, lui ramonant son intimité… Je m’imaginais aussi à la place de son amant, lui saisissant les seins et les malaxant fermement, au rythme des coups de boutoirs. Les gémissements se transformèrent en longs « oui », aigus, appuyés, et devinrent finalement des râles de plaisir, me faisant comprendre qu’elle venait de jouir. Mais ce que j’entendis ensuite me rendit fou. Elle le dit avec une voix de cochonne, une voix de femelle en rut : — Viens sur mon visage. Ce fut de trop, et je ne pus me retenir, giclant de longues traînées de sperme chaud sur mon ventre nu… Il faudra nettoyer ça… Ensuite, plus rien. Il ne me fallut pas longtemps pour sombrer dans le monde des rêves. Les soirs suivants, elle semblait être seule, puisque je n’entendais plus la voix de l’homme. Mais elle n’était pas en reste, puisque je l’entendais toujours se faire du bien, au moins une fois par soir… Parfois, ses couinements étaient tellement aigus que je me demandais si elle utilisait un gode, ou si elle se doigtait l’anus… Rien que cela décuplait mes fantasmes. Chaque jour, je ne pouvais m’empêcher de penser à ce qui m’attendait le soir. Mais j’avais aussi la tête remplie de diverses questions… Est-ce qu’elle m’entend quand je me branle ? Si oui, est-ce que ça l’excite aussi ?Est-ce qu’elle ...
    ... va ramener d’autres mecs ? J’espère…Est-ce qu’elle aime être soumise ? J’espère aussi…Comment je peux faire pour me retrouver moi aussi dans son lit ? C’est cette dernière question qui me préoccupait le plus. La plus importante. Celle qui déciderait du reste. La vie continuait, toujours la même routine, la même rengaine. Métro, boulot, dodo. Je dois dire qu’en cette période de l’année, même le retour du soleil sur la ville n’arrivait pas à me tirer de ma solitude, ni à enlever de mon esprit l’image de la voisine. J’ai pu la croiser plusieurs fois dans l’escalier ou sur le palier, sans pour autant pouvoir échanger plus que des simples politesses. Il va falloir porter tescorones, Hog… Je ne vais pas détailler les nombreuses fois où j’ai pu la voir ou la croiser, mais il me semble qu’il y en a une qui en vaille la peine. Alors que je remontai les escaliers après une dure journée, j’ai simplement pu voir qu’elle fermait la porte du palier. Je ralentis ma montée, pour avoir bien le temps de la croiser, et de l’admirer… Ce fut son sourire qui me frappa en premier. Un sourire naturel, joyeux, chaleureux. Ce sourire qui était collé sur son visage à chaque fois que je la croisais. M’était-il destiné ? Pourquoi souris-tu, tu viens de te faire du bien, hein ?Cette pensée m’excita, et força mon regard à descendre sur sa poitrine… et là, ce fut le choc. Elle portait un t-shirt blanc, simple, mais qui était tout tendu, et surtout, qui laissait apparaître les aréoles de ses tétons. Diantre, ...
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