1. Une gamine géniale me redonne confiance


    Datte: 06/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    J’ai vivement protesté cette fois. Je frappe où ça fait mal; cela lui apprendra à douter de ma virilité. Cocu, passe. Essuie pied, NON. Je sais mordre parfois, malgré mon désir de vivre en paix . Il ne faut pas trop me chercher : - Nora a une maison, si elle veut recevoir Richard, elle pourra l’accueillir chez elle. Je le lui conseillerai à la prochaine vexation. Ma révolte a fait son effet. Le dimanche, après les orgasmes délirants du samedi avec Richard, Louise a voulu nous comparer. Je me suis avantageusement comporté. Louise m’a flatté avant d’imposer une nouvelle règle : - Mon chéri, je sais que mon aventure avec Richard te chiffonne. (Notez l’euphémisme). Tu es un bon mari. Pour t’épargner de subir nos manifestations de bonheur, ne serait-il pas préférable de déplacer nos rencontres. Nora veut bien nous accueillir pour 24 heures, chez elle, le vendredi soir. Je te reviendrai le samedi, aimante comme une bonne épouse. Elle a adopté un comportement prévisible. Quand elle se fend d’un compliment, il faut attendre un désagrément dans la foulée.À quoi bon protester ou refuser. Serait-elle inconsciente ou devenue folle ? Elle impose, elle va me tromper à l’extérieur. C’ est sans doute anodin, inexistant pour Louise : elle demeurera « bonne épouse » croit-elle . Il faut oser le dire ! Ça va faire jaser dans notre quartier où tout se sait. Croit-elle, par ailleurs, que je supporterai longtemps ses caprices ?… De plus Nora les recevra. Donc du vendredi soir au samedi soir, je ...
    ... serai célibataire. Seule concession obtenue : le samedi soir, alors que Louise se reposera de ses amours adultères, et se remettra de ses courbatures sportivement gagnées, elle autorisera Nora à me dorloter un peu. J’ai le choix, ou on s’accorde ou elle me quittera, je le sens au son de sa voix. Un bon accord valant mieux qu’un mauvais procès, la mort dans l‘âme, je cède. Une fois encore. Avec le temps l’escapade du vendredi se prolonge. Personne ne vient à moi le samedi. Puis personne le week-end. Un lundi midi, je ne trouve ni femme ni repas. La maison de Nora devient peu à peu leur base habituelle. Louise revient irrégulièrement, environ deux fois par semaine, et étrangement sans Nora « occupée à ranger sa maison ». Au bureau, Chloé de son côté se réjouit, elle constate les absences fréquentes de son père hors de son domicile et se félicite de la réussite de son plan. Une dénommée Nora l’héberge et son père paraît plus heureux. Bien que cette compagne semble une dévoreuse d’homme. - C’est vrai, toi, Hervé, tu reprends des couleurs; au contraire mon père semble de plus en plus fatigué. Il est trop jeune pour décliner. Ne pourrais-tu pas conseiller à cette Nora de montrer moins d’appétit ? - Ton plan a abouti à un résultat inattendu : ton père réjouit deux femmes. Lui, Nora et ma femme vivent le plus souvent chez Nora depuis un certain temps. Il s’est montré gourmand, un peu trop peut-être après des années de privation. - Et toi ? Tu vis seul? Je ne nie pas, je me tais. Faute ...
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