1. Une gamine géniale me redonne confiance


    Datte: 06/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... de trouver un repas chaud chaque jour chez moi, je décide d’aller manger à la cantine régulièrement. Je suis contraint de passer l’aspirateur et de laver mon linge. La penderie de Louise se vide quand je suis absent. Par ci, par là, elle vient s’inquiéter de mon sort et passe une nuit avec « l’homme de sa vie ». On baise parfois, sans doute quand Richard a préféré Nora. Est-ce encore de l’amour ? Où est passée la passion ? Il y a dans son comportement plus de rage que d’enthousiasme. Un mal intérieur la ronge, elle n’en parle pas. J’ai la vague impression d’être un pis-aller, à la limite, (mais est-ce possible ?) je sers à attirer l’attention des deux autres. Je veux connaître la provenance de deux gros bleus sur sa jambe. Elle a fait une chute dans un escalier. Elle a perdu la mémoire quand je veux savoir comment elle porte des traces sur les seins. Les marques sur les fesses datent d’une autre chute. Ces chutes à répétition m’intriguent, mes questions l’indisposent et elle espace encore ses visites à domicile. Trois semaines, je reste sans nouvelles. La machine à laver de Nora tombe en panne. Louise me téléphone du quartier comme si on la séquestrait : elle passera avec Nora et Richard pour prendre notre lave-linge qui rendra plus de service à trois personnes qu’à un homme seul. Là, Richard dépasse les bornes, il a de quoi en acheter une. Ma femme, ma machine à laver, quoi encore ? Le stage de Chloé se termine ce vendredi, à midi, par un pot . La coquine, pour me narguer, ...
    ... maintenant que son rapport de stage a été approuvé et signé, se présente ce matin dans la tenue du premier jour. Comme le premier jour, elle attend une sortie de Lydie pour renverser une pile de dossiers. À ce moment, je relève une différence dans sa tenue : elle se penche pour ramasser, jambes raides et écartées, croupe haute et bras tendus : elle fait doucement pour me laisser constater l’absence totale de culotte. Ah ! Si son père prenait la peine de veiller sur son enfant au lieu de se dépenser avec les deux salopes. Passe encore pour la veuve, mais Louise, mariée. Évidemment elles le tiennent par la queue, elles s’étaient fait les mains avec la mienne. D’elle-même Chloé contrôle méthodiquement qu’aucun papier n’est parti sous les meubles. Sa chatte bâille, mon sang bout. Faire un coup pareil à un homme marié, sevré de relations sexuelles, lui étaler sous le nez un mignon petit cul et une jeune fente aux lèvres rebondies relève d’un sadisme innommable. Quelle famille ! - Tu m’as dit que ta femme t’a quitté. Toi, si gentil. Permets-moi de venir te préparer un repas ce midi. Ce sera pour te remercier de tes bons conseils durant mon stage. - Ce n’est pas prudent, petite. Enfin si tu l’offres si aimablement, viens. - Jamais je n’ai été lesbienne. Mon père, malheureux en amour, m’avait raconté que ta femme avait dévoyé celle qu’il aimait. J’ai voulu te mettre en garde. Mais Chloé n’est pas venue pour bavarder. - Je n’aurais pas dû me mêler de tes affaires. Je me sens coupable. ...