1. La bonne, la brute et la toubib


    Datte: 07/01/2019, Catégories: f, ff, fsoumise, Masturbation massage, intermast, Oral Lesbienne

    ... n’avait pas compris que sa maîtresse tissait la toile dans laquelle elle avait l’intention de l’attirer. Et ça avait bien failli marcher. Un jour, elles étaient tombées « par hasard » sur deux mecs d’une trentaine d’années, Jeff et Fred, qui jouaient aussi en doublettes. Ils se montrèrent sympathiques, ouverts, sexy, en un mot intéressants. Marie-Jo aurait dû se douter que c’était trop beau pour être vrai. Après deux jours de drague intensive, ils les invitèrent à passer le lendemain prendre un café chez eux. Il était évident pour tous que le café serait corsé. En arrivant devant la propriété, Marie-Jo avait été bluffée : c’était le genre de villa pour friqués où elle n’aurait jamais pensé rentrer. Ça allait être fun. Elles furent accueillies par Fred, uniquement vêtu d’un short qui mettait en valeur sa silhouette, ses abdos et ses pectoraux. Il les conduisit dans un salon trois fois grand comme leur appartement. Là, les attendait, non pas Jeff, mais trois inconnus en maillot de bain. Inconnus qui naviguaient vers la soixantaine, pas vraiment sexy, chauves, bedonnants. Tout pour plaire. Fred leur sortit des excuses bidon, affirma que Jeff les rejoindrait bientôt. La bonne humeur des hôtes et les cocktails dégelèrent l’ambiance. Progressivement, les mecs se montrèrent entreprenants, mais plutôt sympas. Sans doute Marie-Jo se serait laissé piéger si… Elle n’avait pas fait l’amour avec un bonhomme depuis des mois et Fred lui avait tapé dans l’œil. Il avait réveillé des envies ...
    ... hétéros passagèrement assoupies. Ses comparses, bien que vieillissants, conservaient sinon des plastiques du moins des atouts intéressants. À en juger par les bosses qui déformaient leur caleçon de bain, leur matériel restait opérationnel. Marie-Jo, l’alcool aidant, trouvait du plaisir à la situation. Elle avait un bon feeling alors pourquoi pas. Tout allait donc pour le mieux quand deux événements indépendants lui firent comprendre dans quel piège elle était tombée. Le premier éveilla sa méfiance. Les quatre concentraient leurs attentions/attouchements sur elle, Sylvie se tenait, inhabituellement en retrait. Ce n’était guère dans ses habitudes : elle aimait être le centre d’attraction. De plus, Marie-Jo, bien qu’elle ait récupéré ses attraits, savait pertinemment que le pouvoir de séduction de sa maîtresse dépassait largement le sien.« Bizarre ! », pensa-t-elle. Deuxième mise en éveil : alors qu’elle jetait un œil sur elle, elle la vit échanger un drôle de regard avec Fred. Ça la refroidit instantanément. Y’avait anguille sous roche. À partir de cette seconde, elle fut attentive à tout ce qui se passait, se disait autour d’elle, arrêta de boire, tout en jouant les « chaudasses » qui n’attendaient que ça. Si elle n’avait pas eu l’esprit en alerte, elle n’aurait pas entendu un échange à voix basse qui ne lui était certes pas destiné. — Sylvie, je trouve qu’elle ne réagit pas assez ! J’ai de la coke sur mon bureau, va en chercher un paquet !— Ok Karl ! Tu verras, je ne t’ai pas ...
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