Excédée, elle me saute dessus et s'empale
Datte: 08/01/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
nympho,
fépilée,
train,
fdomine,
contrainte,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
... raconte comment ça se passe : avec civilité d’abord, le déferlement s’annonce. Ça commence par un vrombissement du diable, intérieur, mais à rien comprendre d’où il sort. D’ailleurs je décrypte pas, au début. Je sens juste que ça monte, que ça vient. Ça me chatouille quelque part le bas-ventre. Et puis alors que je commence à piger, WHOUF ! Trop tard ! Je suis submergé ! Les images fantastiques, imprimées pendant ma sauterie de tout à l’heure, surgissent de partout. Les flashes de seins, de cuisses, de fesses s’enchaînent à toute vitesse. L’incroyable créature ruisselante de stupre jaillit avec précision dedans mes yeux. L’ourlet de la lèvre, les yeux de chatte, le palpitant nombril, tout me revient avec une force terrible. Un flot de désirs salaces, trop longtemps prisonniers, ravage tout, emportant avec lui ma raison, ma timidité, mes complexes. Je mouille du gland illico. Mon étendard bandant bat la chamade. Ça tambourine, c’est la fanfare du bénard ! Me voilà mâle. Un ramassis d’hormone puante et sauvage. Je marche bien droit, me cambre même, gaule en avant. J’arrose de regards arrogants la gent féminine qui passe à ma portée. Sûr de mon fait et de mon vit, je promets tout à toutes. Quoi ! J’ai vaincu la très grande pécheresse ! Je l’ai eue sur moi, l’ai possédée cette damnée ! J’ai foulé le vagin des vagins ! Je fais plus du tout le compte que j’ai même pas eu un baiser, que j’ai été saisi du bout des doigts puis kleenexé malproprement. Je calcule plus que j’ai été ...
... infoutu de donner ne serait-ce qu’un coup de reins efficace. Mon ego me déborde l’entendement. Allons ! Que puis-je craindre maintenant ? Je leur montrerai, à celles qui voudront ! Faisant exagérément de la place à mes attributs virils que je juge gigantesques, je marche à la Chaplin. Genoux écartés, cul bien devant, je dandine, fier de ma proue. J’exhibe ma bandaison. L’orgueil n’est pas tout. J’ai surtout très, très chaud de la verge. Vite, vite, rentrer-maison, je prends feu ! Mon déhanchement s’accélère. Je vais pas tenir. J’avise une rue plus petite, je vire, m’y engouffre. Ah ! Deux camions garés l’un derrière l’autre. Parfait, quel luxe ! Je m’insère entre eux. Leurs pare-chocs se touchent presque alors je pose un pied sur l’un d’eux. Fébrile, je ratatine mon pantalon jusqu’à mes chevilles. Ahaa ! Tu l’as bien en visuel ma bite ? Très chère ! Pauvrette ! Qui réclame depuis des heures un peu de considération. Je me la regarde, gonflée, agitée, luisante. Enfiévré, je me rejoue le film de tantôt. Je veux me remémorer que ma divine beauté, en me déshabillant, m’a découvert dans toute cette gloire rigide. Qu’elle en a été baba et rouge d’excitation. — Ah salope ! Que je me murmure, sans trop savoir si j’insulte ma bimbo ou si je flatte ma verge. Je m’empoigne à une main, je glisse l’autre à plat contre mon ventre. Je me cambre à nouveau dans l’attitude de l’autophile exhibitionniste. Le concept d’attentat à la pudeur n’évoque pas grand-chose pour moi à ce moment. Ma main entre ...