Marguerite 1 - Histoires de Sexe

Marguerite 1

Marguerite 1Marguerite a mal dormie cette nuit là. Elle n’aurait jamais pensé en arriver là. Pourquoi a-t-elle fait cela ? Elle suppose que sa collègue le fasse régulièrement, mais comment le savoir et en plus, elles ne sont pas trop copine… Il vaut mieux oublier, passer à autre chose, penser aux vacances et on verra à la rentrée… Non, on ne verra rien. Ce matin, elle sort de la douche et se regarde nue dans le miroir. Elle n’est pas très jolie, mais ses seins lourds avec de larges auréoles tombent sur son ventre. Une toison épaisse cache ses lèvres. Tout en se regardant, elle commence à passer sa main sous ses seins, les palpant, puis pince un téton et l’étire. Le cul n’a jamais était sa première préoccupation, mais voilà deux ans quelle en avait même oublié le nom. Elle aimait une chose avec son mari, c’était sucer, avaler sa verge molle et la sentir grossir dans sa bouche, le reste bof, il la baisait rapidement et s’endormais rapidement. Comme c’était comme ça depuis des années on si fait. Elle ne c’était plus posé de question et c’était bien ainsi. Mais aujourd’hui devant la glace, elle rêva… un instant. Demain elle irait à la plage, le soleil sur sa peau lui ferait du bien…Elle arriva vers 14h sur la petite plage, après une heure de route. Elle retire le paréo à grosses fleurs. Elle est en maillot une pièce noire. Peut de monde sur la plage mal connue du grand public, mais toujours trop de monde pour elle. Elle prend un livre et s’allonge sur le ventre vers la mer. Deux ...

... gamins jouent dans l’eau en face d’elle sous les yeux d’une femme assez ronde. Un baigneur sort de l’eau, la cinquantaine, il est à contre jour. Il prend sa serviette et s’essuie. Marguerite, le regarde sous ses lunettes de soleil. Son maillot trop court attire son regard, de dos, il rentre dans ses fesses. Il aurait dut ne rien mettre pense telle. Il se retourne et remarque une énorme bosse déformant le slip. On imagine bien, la verge dessinée par le slip moulant, blanc de surcroit sur sa peau d’ébène. Il semble être seul, et regarde autour de lui, droit comme un i. Encore un vieux qui s’y croit se dit-elle. Mais non, l’homme n’est pas seul, un jeune blanc, la vingtaine sort de l’eau et s’approche de lui. Ils se couchent cote à cote et Marguerite aperçois la main du jeune, caresser la bosse du vieux, ils s’embrassent à pleine bouche, sans s’occuper des autres. Après quelque instant, ils se lèvent, ramasse leurs sacs et remontent vers les dunes. Marguerite, les suit du regard…Encore des homos… Elle veut se remettre à la lecture, mais rien… Elle revoit cette grosse bosse. Ben dit donc, ma vieille, le clébard t’aurait réveillée ? Elle s’aperçoit, qu’elle avait glissé une main sous son ventre. Elle la retire en regardant autour d’elle. Les gens sont trop occupés par leurs moutards pour s’intéresser à elle. Elle ferme le livre, ramasse ses affaires et décide d’aller faire un tour en ville, les boutiques vont lui changer les idées. Arrivée en haut des dunes, elle regarde vers où ...