Marguerite 1 - Histoires de Sexe

Marguerite 1

... sont partis les deux hommes. Puis, elle suit le même chemin, ignorant sa voiture. Elle entre dans la pinède, marche un peut et entends des voix. Elle continue d’avancer et tombe devant le couple lui tournant le dos à l’abri de quelques arbustes. Le jeune, nu, allongé sur le dos, la verge occupée par une main virile. Le vieux et à genoux, couilles et bite pendantes entre ses jambes. C’est vrai que sa queue est grosse et longue, impressionne, Marguerite qui n’a jamais vu cela. Ils se disent des mots tendres. Marguerite veut faire demi-tour, mais son pied écrase une branche sèche, les hommes relèves la tête et découvre Marguerite qui les observaient.- Alors, on joue les voyeuses, dit l’homme noir.- Heu, je passais c’est tout, répond Marguerite.L’homme c’est levé et s’approche d’elle. Elle n’arrive pas à détacher son regard de la superbe bite et surtout des grosses couilles qui pendent dessous. L’homme lui prend la main et fermement la pose sur sa bite. Marguerite essaie de la retirer, mais, l’homme la maintien. Sans comprendre ce qui lui arrive Marguerite sent ses doigts se resserrer sur la tige. L’homme lui lâche la main et pourtant elle tient toujours l’énorme bite. Elle dit en bredouillant.- Elle est grosse.- Si tu préfère la mienne, vient t’assoir avec nous dit le jeune.Le noir pose une main dans son dos et la pousse vers le bosquet. Le jeune se lève, s’approche, prend son autre main et la pose sur sa bite raide.- Branle nous salope.Le mot ...

... salope fut l’électrochoc à Marguerite. Personne ne lui avait jamais dit ça. Mais elle ne dit rien et commença à branler les deux hommes qui se laissaient faire. La grosse raidissait à vue d’œil et l’autre était belle aussi. Le jeune mit sa main sur la tête de Germain et la poussa un peut. Elle comprit et se pencha pour avaler cette bite de vingt ans qui s’enfonçait dans sa bouche. Elle s’agenouilla et se mit à les pomper tout les deux. Tantôt l’un, tantôt l’autre. Elle aurait voulu les sucer tout les deux ensemble, mais elles étaient trop grosses, il lui fallait alterner. Elle sentait le plaisirs monter chez le jeune. Puis il se raidit et un flot de sperme envahi sa bouche. Elle voulu se retirer, mais il lui tenait la tête, alors elle avala son jus. A peine eu-t-elle dégluti que le vieux lui remplissait déjà la bouche de son morceau bien dur. Il avait un gros grand qui raccrochait ses dents… Des voix approchaient et des enfants riaient. Le vieux se retira d’un coup, et en 5 seconde après avoir ramassé leurs sacs, ils disparurent dans la pinède, laissant Marguerite seule à genoux, la encore engluée de sperme. Elle s’assied dans le bosquet, se cachant le plus possible. Un couple et deux enfants passèrent sans la voir à quelques mètres. Leur jeune chien, s’arrêta et s’avança dans le bosquet. Elle le regarda, apeurée. Le chien la renifla et parti en courant sous l’appel de ses maitres. Marguerite resta comme cela longtemps avant de décider de rentrer.