1. La vengeance de mon épouse (1)


    Datte: 08/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Quand Marie apprit que je la trompais, je sus immédiatement qu’elle ne me pardonnerait pas, mais je n’avais pas songé qu’elle voudrait se venger, et je n’aurais pas osé imaginer à quel point sa vengeance allait être terrible, dans quelle mesure ça allait se passer. J’avais rencontré Marie à la fac, à La Sorbonne, elle était étudiante en droit, en première année, et j’étais, moi, inscrit dans un master d’économie, après avoir eu ma licence en école de commerce. C’était une jeune femme très intelligente, étudiante brillante et surtout d’une beauté époustouflante. Avec sa taille de guêpe, sa peau d’un blanc laiteux, ses tâches de rousseur, son petit cul bombé, Marie ne laissait personne indifférent. Marie ne se maquillait pas trop : juste les yeux, et mettait parfois du rouge à lèvres, rouge vif, portait souvent un chapeau surplombant sa coupe au carré, des 501 taille haute qui épousaient ses longues jambes à merveille, des salopettes, des débardeurs ou tee-shirt Petit Bateau, sous lesquels elle ne portait jamais de soutif, et généralement un petit blouson de cuir ou un bombers par-dessus. C’était une fille très branchée, très Saint-Germain-des-Prés. Son père, photographe de mode (ses clichés étaient fréquemment publiés dans Vogue) et sa mère professeur de yoga, formaient un couple tout ce qu’il y a de plus bobo. D’ailleurs la pratique assidue du yoga semblait sculpter à merveille le corps de Marie. J’étais quant à moi un mec typique de Saint-Germain-en-Laye, ville dans ...
    ... laquelle j’avais grandi, beaucoup plus classique. Mon père travaillait dans une banque, et ma mère était dentiste. Mon physique comme mon style étaient des plus banals. Je ne me trouvais pas moche, mais je n’étais pas très beau non plus, de taille moyenne et un peu enveloppé. Je ne me rappelle plus exactement comment cela s’est fait mais très vite nous sympathisions à la bibliothèque, et peu de temps après la rentrée nous étions en couple. Pourtant Marie était très convoitée. Je vivais un rêve. Je n’arrivais à y croire. Peut-être qu’elle m’aimait parce que j’étais un peu plus vieux qu’elle, mais je pense qu’elle aimait surtout le fait que je sois un gentil garçon : un mec bien, différent des connards qu’elle avait l’habitude d’attirer. C’est peut-être aussi pour ça qu’elle accepta de m’épouser. Nous étions mariés depuis deux ans et demi et j’avais déjà commis une erreur, une grosse erreur... Aujourd’hui, après sa douche, Marie se séchait le dos et je pus voir que sa chatte était très bien épilée, rasée entièrement, comme je ne l’avais jamais vue. Elle gardait d’habitude quelques poils, blonds, ou s’épilait en ticket de métro. Là elle était rasée à blanc, on aurait dit une petite fille. Marie enfila un string ficelle noir, transparent devant et quasi inexistant derrière, elle déambula un peu comme ça dans la pièce, puis se passa de la crème hydratante sur tout le corps, lentement, de sorte à ce que la crème pénètre bien. Marie sentait bon, Marie était belle. Mon épouse ignorait ma ...
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