1. La vengeance de mon épouse (1)


    Datte: 08/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... présence depuis quelques jours ; elle semblait enjouée ce soir, mettant une robe blanche, moulante, et très courte. J’étais époustouflé par sa beauté, la transparence de sa robe amplifiait le tout. On voyait au travers cette petite ficelle, si excitante, entre ses deux petites fesses parfaites, et Marie semblait s’en satisfaire en se regardant sous plusieurs angles dans le miroir. Le « noir sous blanc » aurait pu donner un côté « cheap », mais Marie était d’une telle beauté, d’une telle élégance que sur elle c’était branché. Tout lui allait de toute manière. Marie aurait été capable de lancer des modes. Quand Marie s’assit pour mettre des talons aiguilles épousant parfaitement ses chevilles, toutes fines, je pus voir à travers le triangle noir-transparent, ses petites lèvres délicates, entre ses cuisses. Je bandais à présent à m’en mordre les miennes, plus encore que quand elle était nue. Après cette longue préparation, ce spectacle dont je me délectais, elle m’adressa enfin la parole, en se levant du canapé. Je restais quant à moi assis dessus. Marie, qui mesurait déjà 1m72 à plat, paraissait immense, perchée là-haut. Je ne savais pas encore à quoi m’attendre. — Comment tu me trouves ? — Magnifique, mon amour. Mais tu ne vas pas sortir habillée comme ça, si ? Elle sourit, sans répondre. — Pourquoi pas ? — Je ne sais pas c’est un peu… Son regard avait changé, il était sadique, mon cœur battait la chamade. — Un peu quoi ? Elle sourit à nouveau. — Non, je ne vais pas sortir ...
    ... comme ça, rassure-toi. Et ma chatte, qu’en penses-tu ? Est-elle belle ? Marie soulevait à peine sa robe, tellement elle était courte, pour me la montrer en écartant avec son doigt le tissu de sa petite culotte sur le côté, son entre-jambes face à mon visage. Je déglutis. — Oui — Est-ce qu’elle sent bon ? Je restais un instant stoïque, sans savoir quoi faire. — Eh bien, dis-moi si ma chatte sent bon, reprit-elle sur un ton légèrement agacé, venant quasiment coller ses lèvres sur mon nez. — Oui chérie, elle sent très bon. — J’aimerais t’entendre la renifler. Je la regardais d’en bas, Marie me toisait, avait un petit sourire en coin que je ne lui connaissais pas. Je ne comprenais pas trop où elle voulait en venir, mais j’étais très excité alors je m’exécutais. — Snif, snif, j’inspirais longuement. Oui, elle sent bon. Marie prononça un rictus de satisfaction en se penchant en arrière et caressa doucement ses lèvres, du bout de son index, l’approchant de ma bouche pour me faire goûter, avant de le retirer, au dernier moment, et de remettre son slip correctement, d’ajuster sa robe, et de repousser ma tête en m’attrapant les cheveux, presque avec brutalité, avec fougue en tout cas. — Non elle n’est pas pour toi, en tout cas pas pour l’instant, tu pourras peut-être la lécher plus tard si tu es sage, mais j’ai plein de surprises pour toi. Va me servir un verre. Ce soir je commande, et toi tu obéis : tu te rappelles de notre marché ? Marie vint s’asseoir à côté de moi, sur le canapé, me ...