Hélène
Datte: 12/08/2017,
Catégories:
ff,
inconnu,
Oral
initff,
... cette douloureuse et exquise attente. Sa main remonte un peu à l’intérieur de ma cuisse, frôlant ma peau douce. Bouche entrouverte, le souffle court, les yeux rivés sur elle, je dois donner l’image d’une fille facile, mais je m’en moque ! Je veux que sa main remonte encore, que sa bouche prenne la mienne et qu’elle fasse de moi ce qu’elle veut. Hélène se penche enfin vers moi et nos lèvres se frôlent tandis que sa main atteint doucement la limite de ma robe. Je gémis déjà, le corps vibrant de désir. Mes cuisses s’écartent instinctivement, offrant une voie royale vers mon string à la dentelle humide. Je frémis lorsque sa bouche picore la mienne pour une entrée en matière affolante, les seins tendus et le sexe gonflé de désir. Ses doigts sont maintenant sous ma robe, à la limite du string. Je lâche un cri vite étouffé par notre premier baiser lorsqu’Hélène frôle le tissu humide et si fin qu’il paraît absent. Sa langue décidée cherche la mienne qui la rejoint pour un ballet endiablé qui me déséquilibre un instant. Je prends appui des deux mains sur le canapé, libérant ainsi la sienne qui n’attendait que cela pour défaire un à un les boutons de ma robe. Ma bouche répond avec passion à la sienne, d’autant que mon sexe est cette fois franchement caressé à travers le dernier rempart. Ses doigts sont parfois légers, parfois plus fermes, mais toujours adroits. Je lâche un cri plus marqué lorsque mon sein est griffé doucement à travers le soutien-gorge qui me paraît à cet instant ...
... trop étroit et gênant. Je suis prise d’assaut de toute part, et j’en deviens folle de désir. Un instant bref de lucidité me fait reprendre pied. J’interromps notre baiser pour lui souffler : — Je n’ai jamais… Sa bouche ne me laisse pas le temps de finir ma phrase. Je me laisse cette fois complètement aller sur le divan, robe troussée aux hanches et complètement débraillée. Elle a gagné, et tel un général sur le champ de bataille, elle veut profiter de son avantage, pour notre plus grand bonheur à toutes les deux. Sa main glisse sous mon string, se plaquant sur ma vulve trempée et sensible. C’est trop fort. Je lâche un cri, libérant sa bouche avide qui cherche une nouvelle cible. Mon sein tendu, visible sous la dentelle, fait une prise de choix. Je ne suis plus moi ! Le sein aspiré et le sexe caressé avec une adresse diabolique, je suis une autre Cloé. Je me cabre lorsque deux doigts me pénètrent facilement tant je coule. Ils restent un instant immobiles en moi avant de commencer de lents va-et-vient diaboliques. Je me crispe sur le divan. Je gémis. Je crie. Je tente d’échapper à cette main qui me fouille pour aussitôt m’empaler sur elle. Mon sein à présent dénudé, pointe dressée, est aspiré par une bouche avide. Je suis fascinée par ce tableau hautement érotique. — Oui… Lèche-moi les seins. J adore…. Hélène intensifie ses caresses dans un gémissement étouffé par mon petit sein. Sa main ne reste pas inactive et son pouce frôle maintenant la base mon clitoris, me faisant trembler ...