1. Tina au cinéma


    Datte: 09/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Fais-toi belle chérie, ce soir je te sors ! Celui qui parle c’est Jean, mon mari et amoureux : toujours envie de me faire plaisir, même s’il est crevé en ce moment car il ne touche pas terre au boulot. C’est gentil chéri mais ce n’est pas obligé tu sais : si tu veux on se fait une pizza/home cinéma tranquille, je sais que t’es fatigué en ce moment. Non j’insiste, le cinéma on se le fera en vrai ! Mais on va aller manger un morceau d’abord. C’est tout Jean : tendre et affectueux, mais pas romantique pour deux sous, aussi nous retrouvons nous dans un Campanile, au milieu des couples illégitimes et de représentants de commerce en goguette. Mais bon, nous nous aimons, la nourriture n’est pas si mal après tout, et puis il faut dire que certains de ces représentants ne sont pas vilains à regarder : en témoigne ce beau quinqua aux cheveux argentés et à la mise impeccable…auquel Jean tourne le dos et sur lequel mon regard s’attarde peut-être un peu plus que de raison. Horreur ! Il m’a repéré et, après un grand sourire cherchant ma complicité, il ne se prive pas de me détailler non plus. Il faut dire qu’il doit avoir un panorama assez sympathique puisque nous ne sommes pas assis totalement en face l’un de l’autre Jean et moi, ce qui met ce charmant monsieur dans une parfait position de voyeur de mes gambettes gainées de bas résille (oui, on ne sort pas tous les jours, alors…). D’ailleurs, il améliore ostensiblement sa position d’observation, se déplaçant droit dans l’axe de mon ...
    ... entrejambe, pourtant bien protégé par mes cuisses bien serrées, au demeurant. Allez, concentre toi pauvre pomme, t’es là avec ton amoureux et ton esprit divague… J’oublie ostensiblement ce dragueur des motels et reviens vers mon amoureux. Comme d’habitude, il me charme et me fait rire, que je l’aime. Aussi c’est dans un élan d’amour fougueux que je me penche vers lui et l’embrasse à pleine bouche. Mais voilà mon œil attirée à nouveau vers mon quinqua dragueur au moment où je me rassieds : il applaudit en silence et me signifie, en désignant son poitrail, que je lui ai manifestement offert une jolie vue en embrassant Jean. Il faut dire que, dans le même esprit que mes bas, j’avais mis un décolleté assez plongeant et que dans la position dans laquelle j’étais il n’a pas du rater grand-chose de ma poitrine ! Mais quel outrecuidant ! Et le voilà qui a empoigné son sexe à travers son pantalon de toile, me montrant par là son exact volume, qui me fait faire un « oh » de la bouche ! Je fais mine d’être contrariée à son attention et reprends ma conversation avec Jean, en essayant de ne pas penser à ce bellâtre. Pourtant, alors que je pense à ses yeux sur mes seins et à cette forme appétissante entrevue dans son pantalon, une douce chaleur m’investit petit à petit et j’écarte délicatement mes jambes, sans avoir l’air d’y penser. Il veut mater, qu’il mate ! C’est pas Jean qui dormira sur la béquille ce soir ! Je le vois qui réagit dans mon champ de vision mais m’efforce de ne pas le ...
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