1. Tina au cinéma


    Datte: 09/01/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... regarder. Je croise et décroise mes jambes sans calculer ce que cette démarche dévoile de mes jambes, et mes croisements sont de moins en moins rapides….J’ai une pensée pour Sharon Stone et je souris….Mais elle n’avait pas de culotte, elle ! Jean me quitte quelques minutes pour aller aux toilettes et mon regard tombe, comme par hasard et après un détour savamment calculé, sur mon mateur……..qui n’est plus là ! Ah elle est belle l’exhibitionniste sans mateur ! Alors que je me moque de moi-même et le cherche quand même des yeux dans le restaurant, j’entends une voix derrière moi : » vous avez perdu quelque chose ? » Je me retourne et vois mon bel inconnu, tenant devant lui un menu du restaurant d’une manière un peu étrange. « Je crois que c’est ça que vous cherchez » me dit-il en tournant le menu de manière à ce qu’il n’y ait que moi qui vois son sexe en érection qui menace de déchirer son pantalon. « Vous pouvez le toucher, si vous le voulez » ! « Mais enfin ça ne va pas, je suis mariée !! » lui dis-je en rougissant pire qu’une pivoine, et en ayant du mal à quitter des yeux son sexe. « Oui, et c’est pas à ton mari que tu montrais ta culotte, petite salope ! Prends ma bite dans ta main maintenant !» Ce passage au tutoiement ainsi que cet ordre intimé achèvent de me déstabiliser : « mais enfin, je….je… » fais-je en approchant ma main, comme sidérée. Puis soudain en voyant Jean sortir des toilettes je me reprends, et ce voyant, mon bourreau comprends que son instant de chance ...
    ... est passé et se retire prestement, avec son mat de bateau qu’il cache difficilement, faisant quelques pas de danse qui ne manquent pas de me faire sourire. Je n’arrive pas à croire ce qui vient de se passer : il m’a ordonné de lui toucher le sexe et j’ai failli le faire, en public, dans un restaurant, avec Jean pas loin… Jean arrive « ça va chérie, tu es toute rouge ? » « Oui mon amour, c’est leur clim, je vais me rafraichir aux toilettes et je reviens » Je m’éclipse donc, passant devant mon mateur-bourreau qui n’a plus de menu pour se cacher et ne peut me suivre, je jubile ! Il va voir ce qu’il va voir, je ne vais pas me laisser faire comme ça ! Comme je l’avais senti, ma culotte est bien trempée, il m’a retourné le cerveau ce coquin ! Je l’enlève prestement, un petit sourire au miroir (je suis belle ce soir !) et je reviens en salle. Passant près du charmant quinqua, je lui glisse « vous savez, j’aime follement mon mari, mais je vous souhaite néanmoins une bonne fin de soirée », en déposant ma culotte sur sa protubérance, sans m’empêcher d’ailleurs d’en éprouver la solidité ! Quelques minutes plus tard nous sommes dehors, en direction du cinéma tout proche, je suis si chaude que l’air frais qui vient caresser mon petit abricot libre de toute entrave est un vrai délice. A ma demande, nous nous mettons plutôt vers le fond de la salle, et à peine la lumière éteinte, je me fais chatte envers Jean qui n’en demandait pas tant : en même temps que je l’embrasse langoureusement, je ...