un gode pour ma fille (1)
Datte: 09/01/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Un jour quelle ne fut pas ma surprise detrouver dans la chambre de Julie, ma fille, un godemiché que j’avais acheté à ma femme, Mireille. Il s’agissait d’un beau phallus en latex de couleur sombre, d’une taille conséquente qui imitait parfaitement une queue noire. Que faisait ce gode dans la chambre de ma douce et innocente petite fille ? Mireille m’apporta la réponse : — Ta petite fille n’est plus si petite ni innocente que ça, mon cher... Ce gode, c’est elle qui me l’a demandé. Et figure toi qu’elle l’utilise. Je ne vais pas te faire un dessin : elle se l’introduit exactement où tu penses, et à priori elle aime ça... Je n’en revenais pas. En quelques seconde, ma petite fée blonde, ma fille adorée, basculait dans le monde cru et trop réel des adultes. Je n’étais pas aveugle, et je savais que ça faisait quelques années déjà qu’elle avait pris des vraies allures de femme. Mais de là à s’introduire ce genre d’objet dans la... Bref. J’étais choqué. Mais hélas je n’étais pas au bout de mes surprises. — Et ce n’est pas tout, mon chéri, rajouta Mireille, figures toi que je l’ai aidée. — Hein ??? — Oui. la première fois, comme toi je me suis inquiétée. Il est plutôt gros, cet engin. Alors je lui ai montré comment se l’introduire sans risque et pour le maximum de plaisir. — Quoi ? Tu veux dire que tu l’as utilisé sur toi même ? Devant elle ? — Exactement. Puis je lui ai donné pour qu’elle l’utilise à son tour. — Mais Mireille, tu es sa mère ! c’est horrible ! — Ho arrête ! Ca ...
... s’appelle de l’éducation sexuelle. C’est la nature...Et puis Ariane en avait envie. Avec ou sans moi, elle aurait essayé. Toi tu es vraiment trop coincé avec ta fille. C’est une adulte maintenant ! Il va falloir t’y faire ! Même si Mireille essayait de minimiser l’affaire, ses révélations furent très perturbantes pour moi Je ne pouvais m’empêcher d’ imaginer le dialogue entre mère et fille, toutes les deux toutes nues, jambes écartées, s’introduisant le godemiché à tour de rôle. — Voilà, ma chérie, tu le mets à l’entrée et tu pousses doucement. — Comme ça maman ? — Oui ma chérie, c’est bien ! Tu vois, ça rentre bien ! N’aie pas peur, tu peux y aller encore plus profondément. Ça sera encore meilleur. J’y pensais toute la journée qui suivit. Si elles utilisaient ensemble le gode, Dieu sait ce qu’elles faisaient aussi. Peut être se caressaient elles mutuellement. Ou même pire ! Je les imaginais dans des cuni lingus torrides, tête bêche en 69, s’écartant mutuellement les lèvres de leurvulve en chaleur pour aller se titiller le clitoris avec la langue, en même temps qu’elle s’introduisaient doigts et godes au fond de leur vagins trempés... Une mère, faire ça avec sa fille ? Mais quelle idée ridicule ! J’euhonte de ces pensées mal placées... Mais le vers était dans le fruit. Le soir, autour de la table du repas, je ne pouvais m’empêcher de considérer ma fille d’un regard nouveau. Je la regardais là, assise en face de moi, tranquillement en train de manger ses spaghettis. Elle portait un t ...