un gode pour ma fille (1)
Datte: 09/01/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... fait ça avec une vraie queue, je te rappelle ! — Oups... désolé ma chérie. Je me suis emporté ! ... opyojjiv Je rentrais à nouveau doucement ma queue dans la chatte offerte de ma fille , beaucoup plus délicatement, et me mis à entamer des lents va et vient. — Comme ça c’est mieux ? — Oui papa. C’est bon. Mmmh très bon, même Inutile de dire quel délice c’était pour moi aussi. Ariane était absolument délicieuse. Mes quelques remords à baiser ma propre fille s’étaient évanouis... Je regardais avec un immense plaisir ma bite entrer et sortir de sa petite chatte. Elle était à présent complètement trempée. Ariane frétillait de plaisir, gémissait, se tordait dans tous les sens en soupirant. — Ha papa ! C’est bon ! Baise moi encore ! En tant que papa attentionné, j’étais ravi de procurer tout ce plaisir à ma fille. Mireille aussi semblait satisfaite. Elle avait retiré sa culotte, était monté sur le lit et avait placé sa chatte au dessus de la bouche d’Ariane. Visiblement celle çi léchait aussi bien qu’elle suçait, car Mireille gémissait, elle aussi, de plaisir... Ce n’était visiblement pas la première fois qu’elles faisaient ça. J’avais eu raison de me méfier de ma cochonne de femme ! Ceci ...
... dit, à l’heure actuelle, avec ma bite au fond du vagin d’Ariane, j’étais mal placé pour critiquer... Après une bonne heure de plaisirs divers et varié, après que mère et fille eurent pris leur pied à tour de rôle, entre elles et avec moi, je décidais de me laisser aller. J’avais relevé bien haut les jambes d’Ariane, et je la bourrais de coups de reins bien sentis. Le plaisir était divin. — Ha mon Dieu ! Je vais...je vais venir ! — Ha non, intervint Mireille, Tu es fou ? Ne jouis pas en elle ! Elle ne prend pas la pilule ! Quel idiot ! J’avais oublié ce détail. Je sortais alors d’Ariane et me lâchais sur son ventre. Un jet énorme de sperme blanc jaillit sur elle. Elle en avait partout mais semblait plutôt aimer ça. — Merci Papa ! merci papa ! Elle se l’étalait sur le ventre, sur les seins, partout, en léchait et en avalait une partie... Nous étions exténués, ivres de plaisir. Après un moment à rester enlacés après la jouissance, immobiles et silencieux, ce fut Mireille qui apporta la conclusion à ce moment si intense : elle sortit le godemiché qui traînait sous le lit . — Hé bien, je vois que personne ne le regrette ce godemiché ! Une vraie queue d’homme, c’est quand même meilleur !